Comme par hasard, Jean-François nous a invités à son réveillon du 31 décembre.
J'étais impatient de découvrir comment Nathalie se comporterait avec lui devant sa femme et leurs amis.
Évidemment, Nat s'était faite magnifique : passage chez le coiffeur, manucure et tout le reste...
- Je te plais, mon chéri ?
- Tu es resplendissante et tellement désirable !
- Je sais, et ce n'est pas pour toi que je me fais belle, na ! rétorqua-t-elle en vraie coquine.
Elle avait choisi une superbe robe noire pailletée qui la rendait éblouissante et sensuelle. Ses petites bottines à talons hauts cambraient ses reins plus qu'à l'accoutumée.
Pendant ses préparatifs dans la salle de bain de l'hôtel voisin de l'appartement de JF, je ne cessais de soulever sa robe pour plaquer mon sexe dur contre ses fesses.
- Arrête, tu vas me jouir dessus, chéri !
Nous partîmes sans que mon érection ne faiblisse. L'entrée de Nat suscita l'attention : les convives interrompirent leurs conversations presque à l'unisson.
JF vint nous accueillir et nous présenta son épouse (que je ne connaissais que de vue). Nous bûmes abondamment jusqu'au baiser de minuit. J'embrassai Nat langoureusement avant qu'elle ne disparaisse.
Au bout d'un quart d'heure, je la cherchai dans l'appartement. Rien. Sur la terrasse. Rien. La femme de JF discutait paisiblement sans le chercher activement.
Je saisis une coupe et montai jusqu'aux combles du bâtiment. Là :
Surprise à demi prévisible : Nat suçait tendrement le sexe gonflé de JF. Ils m'aperçurent ; Nat, quelque peu troublée, s'interrompit aussitôt.
- Puisque tu es là, viens donc profiter de ta femme, me lança Jean-François avec un sourire cynique.
Je ne me fis pas prier, dégainant mon sexe pour qu'elle me suce à mon tour.
Ce fut un délire complet : ma femme me pompait avec une maîtrise qui évoquait une maîtresse expérimentée, tandis que JF jouait au mari. Nat engloutissait simultanément nos deux bites - l'excitation devenait monstrueuse à la voir manœuvrer avec tant de professionnalisme.
J'admirais la grosse verge de JF disparaître dans sa bouche, ce qui m'excitait davantage que la situation elle-même. Je tentai plusieurs fois de la caresser, et ce contact m'enivrait.
Après dix minutes, JF rugit de plaisir et déversa d'abondantes giclées de foutre dans la bouche de ma tendre épouse, lui murmurant qu'elle était trop bonne pour sucer. Elle ne recula pas d'un pouce et avala le tout délicatement.
Quand elle reprit mon sexe en bouche, je ne pus résister : je jouis violemment et elle ingurgita pour la première fois la totalité de ma semence.
Elle se releva, rajusta sa robe et m'embrassa - les lèvres imprégnées de sperme - en demandant :
- Je suis une bonne suceuse ?
- Ben... oui, chérie.
Puis JF se rhabilla et ils partirent en s'embrassant mutuellement. Personne ne vit rien, la femme de JF étant toujours occupée avec ses invités.
Je conservai le goût du sperme sur mes lèvres durant toute la fin de soirée.
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