On y a pris goût

5 octobre 2025
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De retour de vacances où nous avions vécu nos premières expériences candaulistes, Marie et moi nous sommes rendu compte que nous les avions appréciées au plus haut point. Nous n’avions qu’une envie : recommencer.

Je me suis donc connecté sur un site de rencontres et ai été contacté assez rapidement par un homme habitant un village près du nôtre. Nous avons discuté au téléphone et Serge (c’était son prénom) s’est révélé charmant, compréhensif et plein d’humour. Il m’a longuement questionné sur Marie, son physique et ses goûts sexuels. Rien que d’en parler, j’étais terriblement excité.

Nous avons convenu de passer le samedi après-midi suivant chez lui, où il avait une piscine… ce qui m’a rappelé notre expérience précédente. Marie n’a pas été difficile à convaincre, même si elle ne connaissait rien de cet homme à part ce que je lui en avais dit (sans être moi-même sûr qu’il ait dit la vérité… bien qu’il m’ait paru digne de confiance).

Le jour venu, nous sommes partis chez lui, à quelques kilomètres de chez nous, dans un charmant village du Vexin. Marie conduisait, habillée d’une robe d’été courte, ce qui m’a permis de lui caresser les cuisses tout le long du trajet.

En suivant les indications de Serge, nous avons vite trouvé sa maison. Après nous être présentés à l’interphone, la grille s’est ouverte sur une belle demeure invisible de la route. Après l’avoir contournée comme indiqué, nous avons retrouvé Serge en maillot près de la piscine.

Il avait la fin de la cinquantaine, un peu d’embonpoint et un début de calvitie, mais dégageait du charme et surtout une belle joie de vivre. Serge nous avait préparé des boissons fraîches, bienvenues car il faisait très chaud. Puis il nous proposa de « piquer une tête », ce que nous acceptâmes avec plaisir. « Allez tout le monde à poil ! » s’exclama-t-il. Joignant le geste à la parole, il ôta son maillot et plongea en nous éclaboussant.

Contrairement à la première fois, Marie se déshabilla sans difficulté et se mit vite à barboter… Je la suivis de près.

Après quelques minutes à jouer dans l’eau, nous sommes sortis. Serge nous montra des matelas posés sur la pelouse. Marie s’allongea sur le ventre, nous offrant une vue imprenable sur ses magnifiques fesses. Serge proposa de lui mettre de la crème solaire car le soleil tapait fort. Il commença à lui masser les épaules, les bras, puis le dos et les reins. Il était très doux et Marie semblait apprécier ces caresses. Installé sur le côté, il passa derrière elle, lui écarta les jambes pour s’agenouiller. Il lui massait alors les pieds, remontant lentement vers les mollets, les jambes puis les cuisses.

Il la massa longuement entre les cuisses (même si le soleil n’atteignait pas vraiment cet endroit) puis s’attaqua à ses fesses. Il les malaxa avec tendresse mais fermeté, les écartant parfois pour laisser voir son joli petit trou. Je commençais à avoir une forte érection, comme Serge dont la verge durcissait à vue d’œil. Son massage changea : il passa sa main sur la fente de Marie puis remonta entre ses fesses. Après quelques minutes de ce traitement, Marie gémissait, cambrant les reins pour faciliter la caresse. Serge prolongea en enfonçant délicatement deux doigts dans son sexe, pendant que son pouce pénétrait son anus.

Je lui fais souvent cette caresse, mais la voir pratiquée par un autre homme m’excita encore plus, tout comme Marie, à en juger par ses gémissements.

Quelques instants plus tard, Serge retira sa main, saisit Marie aux hanches et la mit à quatre pattes (sa position préférée, au passage). Après avoir enfilé un préservatif, il la pénétra sans attendre et commença à lui faire l’amour avec douceur mais virilité. Marie gémissait, tendant ses fesses vers l’arrière pour qu’il la pénètre profondément. Cela dura une bonne dizaine de minutes puis Serge proposa de changer de position.

Il s’allongea sur le dos et Marie vint le chevaucher pendant qu’il lui écartait les fesses à pleines mains. Nous étions dans la même position que lors de notre première expérience ! Je me mis à genoux derrière Marie et présentai mon sexe entre ses fesses. Serge l’avait bien préparée et je pénétrai son anus sans difficulté. Marie gémissait de plus en plus fort pendant que nous la prenions ensemble.

La première fois, le plaisir avait été foudroyant et rapide. Là, nous prîmes notre temps. Marie se fit prendre ainsi plusieurs minutes. Mais, en pleine action, une voix s’écria : « Hé bien… On ne s’ennuie pas ici ! ».

Marie et moi sursautâmes en découvrant un autre homme près de nous, sourire aux lèvres. Serge nous présenta un ami, Sylvain : « Je lui ai proposé de passer… Cela ne vous dérange pas ? ».

Vu notre position, difficile de dire non. Sylvain se déshabilla rapidement. Il était très brun, très poilu, avec une belle verge. Je le trouvai un peu vulgaire, mais cela, au lieu de me rebuter, m’excita encore plus. Mon sexe, toujours dans les fesses de Marie, me faisait mal tant il était tendu.

Sylvain bandait déjà ferme. Il approcha son sexe du visage de Marie et ordonna : « Vas-y mon chou… Suces ». Marie ne se fit pas prier : elle prit la grosse verge entre ses lèvres et commença une fellation. La voir sucer tout en se faisant baiser devant et derrière me procura une jouissance intense. Je me répandis dans son cul en longs jets. Complètement vidé, je me laissai tomber sur le côté.

Sylvain décida aussitôt de prendre la place libre dans le derrière de Marie. De près, sa verge me parut encore plus grosse.

Mais il ne se contenta pas de la pénétrer ; il commenta tout haut : « Dis donc, elle a un super cul ta femme ! Tu l’as bien préparée… ça va être un régal de l’enculer ! »

J’étais ambivalent. Choqué qu’on parle ainsi de ma femme, mais aussi excité comme un fou.

Il présenta son gland à l’entrée du cul de Marie et la pénétra lentement, lui arrachant une plainte qui n’avait rien de douloureuse. Il la pistonna fermement. « Ha la salope, elle aime la bite !… Elle le donne bien son cul cette pute ! ». Cela dura de longues minutes jusqu’à ce qu’il jouisse bruyamment – « Oh putain c’est bon… ! ».

Il retira son sexe et dit à Serge : « Viens essayer son cul Serge… Il est trop bon ».

Serge ne se fit pas prier. Il plaça Marie à genoux, le buste sur le matelas et les fesses en l’air, et la sodomisa avec entrain. Je ne perdais rien du spectacle de son sexe pénétrant les fesses de ma chérie et me masturbais vigoureusement, comme Sylvain qui avait retrouvé toute sa forme.

Serge jouit à son tour dans le cul de Marie pendant que j’éjaculais dans ma main. Alors que Marie se redressait, Sylvain continua de se masturber et lui présenta sa bite à sucer. Quelques secondes plus tard, il jouit aussi, dans la bouche de Marie, qui faillit s’étouffer sous le flot de sperme.

Elle recracha sa semence dans la pelouse, se rinça la bouche, puis prit un jus d’orange frais pour se remettre. Je crois que Serge et Sylvain auraient bien repris, mais nous avons prétexté une obligation familiale pour partir.

En rentrant, nous étions joyeux. Nous avions franchi une nouvelle étape. Marie avait payé de sa personne : sodomisée par deux inconnus, elle avait reçu le sperme de l’un dans sa bouche.

Je lui demandai ce qu’elle avait ressenti à se faire insulter pendant l’acte (même si c’était un de nos jeux privés). Elle me répondit que cela l’avait considérablement excitée.

Je lui dis alors : « T’es qu’une petite cochonne » en l’embrassant dans le cou.

J

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