Depuis cette fameuse soirée, nous en parlions souvent, et c’est comme ça qu’elle m’a avoué : « Il bandait dur et quand il se collait contre moi, je sentais sa queue toute raide. Il m’embrassait dans le cou, j’avais la chair de poule tellement ça m’excitait ». Elle m’a aussi confié qu’elle mouillait et avait envie de sentir sa queue dans sa chatte.
Quand nous faisions l’amour ensuite, j’ai remarqué à chaque fois que ma chérie était très excitée et mouillait énormément. Je lui ai demandé de fermer les yeux et d’imaginer que c’était avec lui qu’elle baisait. Bien sûr, la voir dans cet état me faisait bander à mon tour, et ma salope jouissait intensément, jusqu’à trois, voire quatre orgasmes de suite. Je ne lui ai pas demandé si elle avait envie de franchir le pas, peut-être par peur d’entendre un « oui ! J’ai envie de lui ! ». Pourtant, savoir que ma femme est désirée et qu’un autre homme bande pour elle, cette idée m’excitait follement.
Je suis candauliste, sans le savoir à l’époque, car j’ignorais ce qu’était le candaulisme. Plus tard, nous avons eu plusieurs soirées chez eux pour des dîners, qui finissaient parfois par un strip-poker. Je savais très bien que c’était un prétexte pour voir ma femme nue. Malheureusement pour lui et aussi pour moi, elle avait la chance du débutant : elle s’en sortait toujours bien. La seule fois où elle a perdu et a dû se déshabiller petit à petit, elle s’est retrouvée en culotte et soutien-gorge. Sa femme, elle, se retrouvait souvent nue – bizarrement, j’aurais préféré que ce soit ma femme, car voir sa femme nue ne me faisait ni chaud ni froid. Lui, par contre, s’est retrouvé nu plusieurs fois (je le soupçonnais de perdre exprès). Il montait alors sur la table pour exhiber fièrement sa queue en semi-érection. Ma femme faisait semblant de ne pas regarder, mais comme je surveillais sa réaction, j’ai bien vu qu’elle matait, avec un sourire pour cacher son gêne… ou plutôt son excitation.
Une fois dans la voiture, sur la route du retour, je lui ai demandé : « Alors, ce jeu, ça t’a plu ? ». Elle m’a répondu : « Ne crois pas que je suis dupe, c’était un prétexte pour espérer me voir nue. Il doit être déçu ». Je lui ai dit : « Et ça t’a fait quoi, de le voir nu comme ça, surtout avec sa queue à moitié dure ? Je suis sûr que c’était à cause de toi ». Elle a fait : « Bof ! Rien du tout. Je le trouvais ridicule, d’ailleurs je ne l’ai même pas regardé ». Je l’ai démasquée : « Menteuse ! Je t’ai vue mater ! Il a même pris le soin de se tourner vers toi pour exhiber sa queue fièrement, alors que tu étais juste en dessous, à moins d’un mètre ! ». Elle a été obligée d’avouer : « D’accord, c’est vrai. Et je dois admettre que ça m’a un peu émoustillée ». J’ai insisté : « Juste un peu émoustillée ? ». J’ai passé ma main entre ses cuisses et remonté jusqu’à sa chatte… elle était trempée. Je lui ai dit : « Hypocrite ! Voilà ce que tu appelles un peu émoustillée ? Tu es trempée, ma chérie. Avoue ! Tu aurais bien aimé la prendre en bouche pour sentir grossir entre tes lèvres ». Elle a joué l’hypocrite jusqu’au bout : « N’importe quoi ! Dis plutôt que toi, tu aurais aimé que je le fasse, comme ça tu aurais pu sauter sa femme, cette salope ! Je vois bien qu’elle meurt d’envie que tu la baises ! ». Je lui ai répondu franchement : « Pas du tout, moi ! Bizarrement, les autres femmes ne m’intéressent pas ». Mais comment lui expliquer que toute mon attention est concentrée sur elle ? Que ça m’excite de voir les hommes la regarder, la désirer, et d’imaginer qu’ils bandent sûrement pour elle ? Tout ça sans la moindre jalousie, bien au contraire.
Mes moments préférés sont ces quelques soirées où nous sommes allés dans des clubs libertins. Je prétextais aller aux toilettes et je me plaçais pour la voir sans être vu. De loin, j’observais les manœuvres des hommes, ou de certaines femmes aussi (j’ai oublié de vous dire que ma femme est bi). Certains osaient s’approcher pour essayer de discuter ou l’inviter à danser. Mais, à ma grande déception, elle refusait systématiquement. Quand je revenais à notre table, elle me faisait la réflexion : « Tu es resté longtemps ! Où étais-tu passé ? J’aurais pu me faire enlever plusieurs fois ! ». Je faisais l’innocent : « Ah bon ? Comment ça ? ». « Oui ! Ils tournaient autour de moi comme des mouches sur de la viande fraîche ! Plusieurs m’ont invité à danser ». « Et alors ? Il n’y a pas de mal ! Tu devrais être fière d’attirer autant l’attention. Pourquoi tu n’as pas accepté de danser ? ». Elle m’a averti : « La prochaine fois que tu me laisses seule aussi longtemps, tu risques de ne plus me retrouver quand tu reviendras ». Au fond de moi, je pensais : « Oh oui ! Ma chérie, fais-le ! Et je serai l’homme le plus heureux du monde ».
Voilà la suite promise. D’autres suivront si vous le souhaitez. Mais faites-le-moi savoir.
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