Ma femme et mon boss - 2

24 juillet 2025
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Difficile de refuser une promotion quand votre femme vient de dire "oui" pour vous à votre patron et que les deux vous fixent avec une telle intensité qu'un refus m'aurait couvert de honte.

Je mimai un geste circulaire autour de ma tempe : "Je vais réfléchir à ta proposition...". Cette offre me propulsait sur une autre planète. Sans être dupe pour autant : la main de JF n'avait toujours pas refait surface.

Nous avons beaucoup bu pendant le dîner, tous les trois. Les rires bruyants de JF et Nat résonnaient de plus en plus fort dans la salle. Les sujets sexuels lancés par JF se faisaient de plus en plus fréquents et directs, devenant vraiment gênants pour moi, mais pas pour Nathalie.

Puis nous avons quitté le restaurant sous la pluie. Jean-François proposa à Nathalie de l'abriter sous son parapluie. Je me sentais vraiment comme le futur cocu. Ils marchaient bras dessus, bras dessous, discutant. Impossible d'attirer l'attention de ma femme. À ce moment-là, je me suis dit : je ne sais pas comment, mais il va baiser ma femme. Et cette pensée déclencha une nouvelle érection puissante.

Une fois dans la voiture, Nat devant, je me coinçai à l'arrière gauche en bâillant.

Quelques minutes plus tard, la main de Jean-François glissa sur la jambe de Nathalie, puis sous sa jupe. Je voyais parfaitement la scène depuis mon siège. Un peu gênée, elle se tourna vers moi pour vérifier si j'avais vu. Je fis semblant de dormir, émettant un léger ronflement. Elle fit un geste de la main à JF pour signaler que j'étais saoul et endormi. Quelle excitation ! Le trajet fut trop court, dommage.

Arrivés à la maison, Nathalie proposa de raccompagner JF à son hôtel pour qu'il ne se perde pas... Je dis :

  • "Bien sûr, moi je vais me coucher, je suis mort de sommeil." En regardant la voiture s'éloigner, je compris qu'ils allaient en profiter. Ils avaient une bonne alchimie physique. Pour en arriver là avec son propre patron et sa femme... Au final, nous allions tous profiter de ce moment de sexe extraordinaire. Ma vie et celle de ma femme seraient désormais moins routinières.

Je me couchai et me masturbai en pensant à eux. Ce fut très rapide.

Une heure et demie plus tard, j'entendis la clé dans la serrure. Je me levai pour accueillir ma petite salope et voir dans quel état elle rentrait.

Ses cheveux étaient en bataille, son visage marqué, son maquillage défait...

À ma grande surprise, elle éclata en sanglots, me suppliant de lui pardonner. Elle avait fait ça avec mon patron juste pour le plaisir, pour s'amuser, et elle m'aimait bien plus que lui.

Je la pris dans mes bras pour la réconforter :

  • "Je sais, moi aussi je t'aime." Elle sentait fort le sexe. L'odeur de sperme sur ses joues me remit instantanément en forme. Je l'entraînai vers la chambre en glissant ma main entre ses cuisses, sous sa robe. Plus de culotte. Un liquide coula sur mes doigts quand je les retirai. Je les suçai discrètement, sans qu'elle ne voie, par pure excitation, juste pour connaître le goût du sperme de Jean-François. J'étais dans un état second, prêt à commettre des actes sales et interdits.

Je mourais aussi d'envie que Nathalie me raconte en détail la fin de sa soirée avec JF. Et de glisser mon sexe dans son sexe plein de sperme.

Elle se coucha et, sanglotant encore un peu, me raconta tout. Il avait été très entreprenant dans la voiture. À chaque feu rouge, il l'embrassait avec fougue et elle avait beaucoup apprécié ses baisers et ses caresses. Il lui dit que c'était dommage qu'elle doive rentrer aussitôt. Nathalie lui lança alors :

  • "T'inquiète pas, Vincent doit dormir et j'ai pas vraiment envie de rentrer." Ce qui le rendit encore plus ardent. Dans la chambre d'hôtel, Nathalie se jeta sur le dos sur le lit. Jean-François se déshabilla.

Nathalie me confia qu'elle fut surprise par la forme de son sexe : un peu tordu et très veineux, mais bien plus gros que le mien. Cela ajouta de l'excitation à son récit et je commençai à glisser mon sexe dans sa main. Elle prit plaisir à me raconter que son sexe à lui, dans sa main, tenait à peine. Ensuite, il devint très directif et l'obligea à le sucer immédiatement.

Nathalie a toujours aimé ça. Elle le suça donc avec enthousiasme, lui disant qu'elle attendait ce moment depuis des heures, le regardant fermer les yeux sous ses coups de langue.

Il la retourna sans la déshabiller, lui déchira ses collants et sa culotte et la prit à quatre pattes, en levrette. Après environ quinze minutes de va-et-vient très virils, il jouit au fond d'elle. Ils restèrent quelques minutes ainsi, savourant l'instant.

Pas tout à fait satisfaite, Nat se retourna et le suça, son gros sexe un peu plus mou mais couvert de sperme chaud, pour essayer de le faire bander à nouveau. Elle me dit alors qu'elle préférait le goût de son sperme au mien, et que c'était pourquoi elle n'avalait pas le mien, et qu'elle avait pris plaisir à goûter le sien (moi aussi, mais elle ne le savait pas, lol). Je respirai l'odeur sur ses joues à pleins poumons et mon érection redoubla.

Mais il avait tout donné dans sa chatte. Ils s'allongèrent donc et discutèrent, lui nu sur le lit et Nathalie encore complètement habillée avec ses bottines.

Jean-François lui proposa alors de me convaincre de venir à Strasbourg. Il ferait tout pour trouver un logement près de chez lui afin que Nathalie puisse le voir souvent. Pour finir, il lui dit qu'il en discuterait avec moi dès demain et arrangerait les choses pour que je me sente le moins gêné possible par cette situation. Elle m'avoua finalement qu'elle éprouvait quelques sentiments... pour lui... Quoi ? Nathalie amoureuse de mon patron ? Aïe !!! Encore plus excitant sur le moment, mais potentiellement très dangereux pour nous !

À ces mots, je me sentis tellement cocu que je jouis doucement entre les cuisses de ma femme, sans pouvoir me retenir, comme un puceau incapable de gérer sa libido. Ma femme me glissa alors à l'oreille :

  • "Heureusement que j'ai un nouvel amant plus viril que toi !!!".

L'humiliation était si délicieuse qu'à cet instant précis, je souhaitais me soumettre à tous leurs désirs, peu importe la suite. J'étais désormais certain que Nathalie était prête à me tromper à nouveau avec Jean-François, quelle que soit ma réaction... Et comment regarder Jean-François demain dans les yeux et lui parler de Nathalie naturellement, avec les détails croustillants de leurs ébats en tête, connus de nous trois ??? Cela m'excitait et m'humiliait d'avance.

Nous nous embrassâmes finalement avec passion puis nous tournâmes chacun de notre côté. Je conservai une érection extrêmement dure jusqu'au matin...

B

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