Ma femme et mon patron : Ce réveillon inoubliable 2
Nous voilà samedi 2 janvier. On a passé la matinée à visiter des appartements pour trouver notre futur nid. Jean-François a insisté pour nous accompagner. Quatre visites entre 9h et 13h – une vraie galère. Aucun coup de cœur malheureusement. :(
De retour chez Jean-François, sa femme est là. Pour être franc, elle est assez quelconque – rien à voir avec la sensualité de Nat. J’ai l’impression qu’elle se fout royalement de son mari, d’ailleurs à l’apéro elle nous annonce qu’elle file chez ses parents en Moselle jusqu’à demain soir. Les yeux de Nat ont soudain pétillé, échangeant avec Jean-François un sourire complice lourd de sous-entendus, que sa femme n’a même pas remarqué.
Vers 14h, après son départ, Jean-François s’installe sur le canapé et caresse les cuisses de Nat. Elle pouffe bêtement à ses blagues graveleuses et se laisse faire. Je bande en voyant ses mains glisser sous la jupe de Nat – aujourd’hui, elle n’a plus aucune gêne, elle me lance même des regards de connivence qui m’excitent au plus haut point. Sa main à elle frictionnait énergiquement la braguette de Jean-François.
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Je ne sais pas si t’as faim Vincent, mais moi j’ai une furieuse envie de moule, pas toi ?
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Je vois où tu veux en venir… et oui, j’en meurs d’envie aussi. Cette situation ubuesque me donne l’impression de rêver les yeux ouverts. Franchement, qui a déjà vécu ça ? Voir son patron tripoter votre femme adorée et vous demander de la baiser comme si c’était naturel, tout en lui pelotant les cuisses et la chatte sans complexe ?
Son invitation me fait bander comme un fou – Nat le sait bien :
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Chéri, j’ai envie de faire l’amour avec Jean-François… tu m’autorises ? dit-elle avec un sourire carnassier.
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Bien sûr ma belle, fais-toi plaisir. Ils se lèvent alors et filent vers la chambre. Je les suis mais à la porte, Nat me chuchote à l’oreille :
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Laisse-moi baiser tranquille, s’te plaît mon amour ? Impossible de refuser. Elle verrouille la porte.
Je reste planté comme un con – ou plutôt un cocu consentant – devant cette porte close, entendant leurs ricanements moqueurs à mon encontre. J’ai sorti ma bite dure comme bois et me suis branlé en écoutant les propos crus de Jean-François : d’abord suçé avec voracité, puis enfilant Nat en levrette avec sa violence habituelle. Baise-moi plus fort ! lui hurlait-elle. Les claquements sur ses fesses résonnaient distinctement – un vrai vacarme !
Une heure plus tard, il sort, sa grosse bite encore en évidence :
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Nat t’appelle ! Je la rejoins sur le lit.
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J’aimerais rester avec Jean-François jusqu’à demain matin… tu permets chéri ? murmure-t-elle dans un baiser. Elle empestait la sueur et le foutre – une odeur qui m’a excité instantanément.
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D’accord… mais on baise maintenant !
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Viens… fait Nat avec une sensualité calculée pour m’amadouer. Je me suis enfoncé dans son sexe mouillé. Quelques va-et-vient rapides et j’ai déchargé au fond de sa chatte. Bisous, à demain ! lance-t-elle sitôt mon sperme expulsé.
J’ai pris une douche, salué mon patron et me suis retrouvé seul dans mon lit d’hôtel. Mais quel pied d’imaginer leur nuit de baise sauvage ! Au retour de Strasbourg, Nat m’a raconté leurs trois rounds – dont un après le petit-déj. J’ai passé le trajet la main entre ses cuisses, à palper sa chatte encore gluante des assauts de Jean-François, buvant ses récits obscènes. Le bonheur absolu.
Suite au prochain numéro…
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