Ma femme après une nuit avec son amant

Tout d’abord, si certains prenaient la peine de poster des contributions, le moindre des choses serait que ceux qui les lisent laissent un petit commentaire.

Après le petit déjeuner que je lui avais préparé et servi au lit, elle m’a dit :

• Je suis sûre que tu veux savoir avec qui j’ai fait l’amour ?
• Oui, effectivement... mais j’ai déjà une petite idée.
• Ah bon ? Qui alors ?
• Je suis presque sûr que c’était Michel, je me trompe ?

Elle souriait avec un petit air coquin. Sans me répondre tout de suite, elle jouait avec ma patience. Enfin, elle s’est décidée :

• Et bien... (une petite pause) non, ce n’était pas Michel, mon chéri, mais tu as raison, ça aurait pu être lui. (encore une pause) C’était avec un commercial, celui qui vient souvent nous voir au bureau.

Plusieurs fois, il m’a invité à prendre un verre. Même une fois, nous avons déjeuné ensemble. Il m’a draguée gentiment et le jeu m’amusait. En plus... je dois t’avouer qu’il ne me laisse pas indifférente. Il n’est pas très beau, mais il a beaucoup de charme. On s’est échangé nos numéros de portable et souvent, il m’envoie des SMS auxquels je réponds chaque fois.

Au début, je prenais ça comme un jeu. Mais quand il n’avait pas le temps d’envoyer des messages, ça me manquait. Je me demandais si c’était ses SMS ou lui ? Et quand tu m’as parlé, quand tu m’as fait prendre conscience de mon charme, surtout quand tu as exprimé ton désir que je prenne un amant... tout de suite, dans ma tête, j’ai pensé que si un jour je franchissais le pas, ce serait avec lui.

Je ne regrette rien. Il a été attentionné. Il m’a invitée au restaurant, a commandé deux coupes de champagne et une excellente bouteille de vin. Tu connais l’effet du champagne mélangé au vin sur moi : j’étais bien, détendue. Je savais que ce soir-là, j’allais tromper mon chéri, réaliser son fantasme de savoir sa femme jouir dans les bras d’un autre homme.

Après le repas, nous sommes allés chercher nos voitures. C’est moi qui me suis blottie contre lui. Il m’a prise dans ses bras... et c’est encore moi qui ai tourné la tête pour qu’il m’embrasse. Nous avons échangé un long baiser langoureux sous les regards des passants.

Dès qu’on est entrés dans la chambre, il m’a embrassée, ses mains caressaient mes seins, mes hanches, mes fesses. Je lui ai demandé de me laisser prendre une douche pour me rafraîchir.

Il s’est douché à son tour. Je m’étais glissée nue sous la couette quand il est sorti de la salle de bain, complètement nu. Je le regardais, ou plutôt j’admirais son corps... il était encore plus beau nu. Sa belle queue était déjà en semi-érection, et elle était d’une belle taille.

Je mouillais. Il est venu se glisser contre moi. Nous nous sommes embrassés passionnément tandis que ses mains caressaient mes seins avant de descendre vers ma chatte trempée. J’ai écarté les cuisses pour que ses doigts puissent explorer ma chatte, pendant que sa bouche embrassait mes seins et léchait mes tétons. J’ai commencé à gémir et j’ai hurlé, tout mon corps secoué par un violent orgasme.

Mais j’avais envie de sucer sa grosse queue bien dure. Je l’ai prise en bouche, je l’ai fait coulisser entre mes lèvres tout en caressant ses grosses couilles. J’avais du mal à l’avaler entièrement, elle était si grosse et longue... mais j’ai fini par le faire jouir. Il a déchargé son sperme et j’ai tout avalé, même s’il y en avait vraiment beaucoup.

Après, il m’a fait un cunni. Il m’a léchée comme j’aime ça, sa langue sur mon clito bien gonflé, tout en doigtant ma chatte avec deux doigts... et j’ai encore crié mon orgasme. Pendant une heure, il m’a prise, baisée dans plusieurs positions. On a fini en levrette. J’avais l’impression qu’il me défonçait la chatte tellement il donnait de grands coups de reins, ça claquait contre mes fesses... et il disait des mots bien crus. Tu sais que j’adore être traitée comme ça.

J’ai crié, hurlé comme une chienne. J’ai joui, je ne sais plus combien de fois, avant qu’il décharge. J’ai regretté de ne pas recevoir son sperme dans ma chatte... j’aurais aimé sentir sa semence gicler et inonder mon sexe. J’ai honte de m’être donnée ainsi... Tu ne m’en veux pas, mon chéri ?

Je l’ai rassurée :

• Mais non, pas du tout ! Bien au contraire ! Tu n’as pas remarqué à quel point je suis excité pendant que tu racontes ? Tu ne vois pas à quel point je bande ? J’espère que cette première fois n’est pas la dernière ? Que ça t’encourage à recommencer vite. Tu comptes le revoir ?

Elle m’a demandé :

• Tu es sûr que tu ne seras pas jaloux ? Que tu m’aimeras toujours ?

• Arrête de te poser des questions ! C’est bien moi qui t’ai poussée et encouragée à franchir le pas ! Est-ce que tu as vu ou entendu le moindre reproche de ma part ? Au contraire... je t’aime encore plus et je te remercie de l’avoir fait. Tu as fait de moi l’homme le plus heureux du monde.

• Dans ce cas, je recommencerai. Parce que je dois t’avouer que c’était excitant... et je n’ai jamais autant joui.

J’étais tellement excité que j’avais envie de lui faire l’amour... mais dans mon état, je n’ai pas pu lui donner beaucoup de plaisir.