L'idée d'une expérience de sexe à trois était venue de Monsieur

7 juillet 2025
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L'idée d'une expérience de sexe à trois était venue de Monsieur, mais il souhaitait que Madame soit pleinement consentante, qu'elle le désire, que cette idée l'émoustille et l'excite. Initialement réticente, elle s'est laissée convaincre et ils ont décidé de trouver un homme pour partager leur intimité.

C'est son récit de triolisme et de candaulisme sur son site qui les a d'abord attirés. La quarantaine, comme eux, il se décrivait comme grand, brun et surtout gentleman. Quelques échanges par email et messagerie instantanée ont fini de les décider. Jean les a convaincus par son calme, sa voix et son profond respect des femmes, un vrai gentleman moderne. Ils ont convenu d'une rencontre pour faire l'amour tous les trois.

Il est arrivé un soir pour dîner. Ils avaient préparé un repas léger pour l'occasion, ne souhaitant pas passer des heures à table. La préparation de ce repas fut particulière : Monsieur et Madame ont échangé peu de mots, mais leurs regards soutenus et leurs contacts tactiles langoureux étaient éloquents sur leur excitation mutuelle.

Quand la sonnette retentit, Monsieur lui ouvrit. Il entendit Madame soupirer, tendue et excitée simultanément. Lui-même était dans le même état, malgré ses efforts pour paraître décontracté. Elle les attendait en haut de l'escalier. Jean s'approcha de Madame en souriant, posa une main sur son bras et l'embrassa sur les joues pour la saluer. Ses gestes étaient lents et délicats. Monsieur comprit que Madame était déjà sous son charme avant même qu'il ne parle. Madame regarda ensuite son mari en souriant, et il sut qu'elle l'approuvait.

Jean portait une chemise blanche assez cintrée qui mettait son corps en valeur et un pantalon de costume noir. Madame avait choisi pour l'occasion une jolie robe rouge assez courte révélant ses magnifiques jambes. Un décolleté discret laissait entrevoir sa poitrine avec subtilité. Monsieur portait également une chemise et un pantalon flatteur. Lui aussi voulait plaire à sa femme.

Ils prirent un apéritif rapide pendant lequel ils échangèrent des banalités pour briser la glace. Les regards qu'ils échangèrent tous trois la firent fondre rapidement. Le gentleman la dévorait des yeux et elle adorait ça.

Ces préliminaires créèrent un jeu de séduction très agréable et excitant. L'ambiance était détendue. Ils rirent beaucoup de l'humour délicat de Jean, ce qui les rapprocha. Madame était assise au bout de la table, comme à son habitude, et les deux hommes se placèrent de chaque côté de la belle. Monsieur vit à plusieurs reprises Jean poser sa main sur sa femme et la caresser du bout des doigts. Madame et son mari le laissèrent faire.

Le gentleman les regardait tour à tour en riant. Jean passa une main sous la table pour lui caresser la jambe. Il trouva son genou puis remonta doucement vers sa hanche, exécutant de lents aller-retour.

Savoir qu'un autre homme touchait sa femme fit instantanément raider le membre de Monsieur. La chaleur monta en lui, et sentir les jambes de son épouse s'écarter légèrement l'excita davantage.

De temps en temps, Jean revenait à son cou, l'embrassant et la léchant. Écartant délicatement les jambes de Madame avec sa main tout en continuant de l'embrasser, il remonta à l'intérieur de ses cuisses jusqu'à son sexe. Madame poussa un petit gémissement quand elle sentit ses doigts la caresser à travers le tissu de sa culotte.

Madame le caressait aussi et glissa une main jusqu'à son entrejambe. Son mari vit cette approche délicate et cela le rendait fou d'excitation. Madame finit par trouver la bosse de son membre durci et se mit à le caresser. Le gentleman émit un grognement approbateur qui l'encouragea à poursuivre.

Jean remonta et caressa ses seins à travers sa robe. Il redescendit après quelques instants pour retourner entre ses jambes. Madame écarta un peu plus les cuisses pour l'accueillir. Il continua de l'embrasser avec fougue et glissa sa main dans sa culotte. Elle se laissa faire en regardant son mari dans les yeux, qui appréciait ce moment de partage.

Monsieur la vit brusquement se cambrer en poussant un gémissement puissant. Il aperçut des va-et-vient dans sa culotte qui lui firent comprendre qu'il la pénétrait avec ses doigts. Elle semblait adorer ça. Il se mordit les lèvres et commença à se caresser à travers son pantalon. Les gémissements de sa femme devinrent réguliers, scandant ses mouvements lents et profonds en elle. À ce moment, le mari décida de se joindre à eux. La voir ivre de plaisir sous les caresses de cet homme l'avait profondément excité, et il voulait, à son tour, la combler.

J

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