Je n'ai raconté ce vécu à Yanis que près d'un an après le début de notre vie candauliste. Pourquoi ? Je ne me l'explique pas. Aujourd'hui, j'ai envie de le partager avec vous.
À l'époque, je venais d'avoir 18 ans et, bien que j'aie déjà couché avec beaucoup d'hommes jeunes et moins jeunes, je gardais encore une part d'innocence en moi.
Étudiante, je travaillais quelques semaines par an pendant les vacances depuis déjà deux ans. Mais cette année-là, le magasin qui m'employait avait fermé, me forçant à chercher ailleurs. Mon père avait parmi ses amis un boucher dont le commerce se trouvait à moins de dix minutes. Il m'a pistonné et j'ai obtenu le poste de vendeuse pour tout le mois de juillet, un emploi très bien payé pour la jeune fille que j'étais.
Les deux premières semaines se passèrent très bien, sauf avec le père du boucher. Ancien propriétaire de la boutique, il venait presque tous les jours et aidait parfois son fils.
Dès le premier regard, cet homme me mit mal à l'aise. Il avait quelque chose de vicieux dans les yeux qui me gênait. Mon intuition se révéla exacte très vite : à plusieurs reprises, quand il passait derrière moi au comptoir, il se permit de me frôler alors qu'il y avait assez d'espace pour garder une distance. Parfois, ce furent aussi de petites remarques comme "oui, elle est vraiment bonne", lancées en réponse à des clients qui faisaient l'éloge de ma gentillesse ou de ma serviabilité. Ces phrases revenaient régulièrement, accompagnées d'un petit regard lubrique dirigé vers moi.
Ce n'étaient pas les mots qui m'embêtaient, mais cette manière de me déshabiller du regard en les prononçant.
Tout cela était gênant mais restait supportable jusqu'au jour où...
C'était un jeudi, je m'en souviens comme si c'était hier. Le patron me demanda si j'acceptais de faire 14h à 22h au lieu de 10h à 18h30 pour aider son père à préparer les charcuteries pour le samedi (un ouvrier était absent). Je n'avais pas très envie de me retrouver seule le soir avec son père, mais comment refuser ? J'ai donc dit oui.
Le vendredi :
Certain(e)s diront que je l'ai bien cherché, que je l'ai fait exprès, mais je vous assure que non (n'oubliez pas que j'avais à peine 18 ans !). Toujours est-il que, sans y penser, je n'avais mis qu'une petite jupe mi-cuisses pour travailler. De toute façon, je portais un tablier qui descendait sous les genoux dans le magasin.
Malheureusement, ce tablier était ouvert à l'arrière !
Jusqu'à 17h30, tout se passa bien, mais c'est à ce moment-là qu'arriva le père !
Comme à son habitude, il me salua d'un baiser frôlant le coin de mes lèvres tout en passant un bras autour de ma taille. Je suis sûre que cela paraissait amical et sans ambiguïté pour les autres, mais moi, je sentais qu'il y prenait un plaisir sexuel.
Étonnamment, ce jour-là, il garda ses distances avec moi, du moins jusqu'au départ de tout le monde.
La première demi-heure se déroula normalement, je travaillais et lui aussi. Nous étions seuls dans l'atelier, le magasin fermé et les stores baissés. C'est alors qu'il commença ses approches verbales (je crois qu'il voulait me tester) :
- "Tu sais, tu es la première vendeuse aussi jolie et souriante."
- "Je suis certain que maintenant des clients reviennent rien que pour toi."
- "Mon fils est un sot, il devrait te proposer un contrat avec un bon salaire. Avec toi au magasin, on vendrait beaucoup plus."
- "Tiens, même moi, j'ai envie de venir tous les jours rien que pour toi."
Je lui répondais poliment sans relever la tête, un peu grisée par tant de compliments.
- "C'est pour moi que tu as mis cette belle jupe aujourd'hui ? Si oui, j'en suis flatté."
Moi : "Non, je l'ai mise parce qu'il fait beau et que je suis allée faire du shopping avant de venir."
Lui : "N'empêche que je suis content. C'est agréable de travailler en pouvant me régaler de tes belles jambes."
Moi : "Merci."
Ma façon de dire "merci" a-t-elle été comprise comme une approbation du compliment ? Toujours est-il qu'il cessa de travailler pour aller se laver les mains avant de revenir près de moi et de tirer sur la patte qui fermait mon tablier.
- "Hé !" dis-je.
Lui : "Attends, il était mal noué."
J'avais les mains dans le mélange de hachis, impossible de le renouer moi-même.
Alors que je croyais qu'il allait le faire, il posa ses mains sur mes fesses !
Je fus si surprise que je n'eus aucune réaction, ce qui lui fit probablement croire que cela ne me dérangeait pas. Naturellement, il osa aller plus loin. Ses mains soulevèrent ma jupe et l'une d'elles plongea dans ma culotte. Là, je poussai un petit cri qu'il interpréta comme un refus, alors que c'était simplement parce que sa main était glacée (ce qui ne signifie pas que j'étais d'accord avec ce qu'il faisait).
Il retira aussitôt sa main et me dit qu'il avait cru comprendre que je n'étais pas contre, vu ma tenue alors que je savais que je serais seule avec lui, et mon absence de réaction quand il m'avait touchée quelques instants plus tôt.
- "Tu sais, si tu me permets des petites choses, je peux te récompenser et personne ne le saura."
Moi : "Je ne suis pas une pute, je ne couche pas pour de l'argent."
Encore une fois, mes propos furent mal interprétés. Il crut que je lui donnais carte blanche sans rien demander en retour. Et c'est vrai, je ne couche pas pour de l'argent, même si j'en ai parfois accepté.
Se croyant donc autorisé, il s'empara de ma jupe et me retira ma petite culotte. Je me retrouvai ainsi cul nu sous mon tablier !
J'avais extrêmement chaud, je crus même que j'allais faire un malaise.
J'avais les mains dans le hachis tandis qu'il pétrissait mes fesses, s'accroupissant pour les couvrir de baisers. Il dirigea sa main vers mon sexe et me caressa, jouant avec mon clitoris. Je n'avais aucun contrôle sur mon bassin qui allait et venait au rythme de ses caresses. Franchement, c'était plus qu'agréable.
- "Je vais te faire connaître un bonheur comme tu ne l'as jamais vécu", dit-il en s'éloignant de moi. "Juste, je veux savoir si tu es encore vierge."
Ma réponse négative le ravit. Il éteignit la lumière et partit dans le magasin d'où il revint quelques instants plus tard.
Avouez que la situation était plutôt bizarre : moi, presque nue dans le noir, ne sachant que faire de mes mains poisseuses.
Lui, à son retour : "Penche-toi au maximum et écarte bien les jambes."
J'étais dans cette position quand deux doigts se mirent à fouiller mon intimité. Deux doigts, puis trois, puis quatre. J'adorais ça, et je pense que la peur d'être surprise ainsi par le patron, s'il revenait, ne faisait qu'augmenter le plaisir ressenti.
Puis il retira ses doigts et me prévint : "Je vais y aller doucement, mais ton vagin va déguster comme jamais."
J'ai ri un peu intérieurement, ce grand-père me semblait assez prétentieux.
C'est alors qu'un contact étrange se fit avec ma chatte, quelque chose que je devinais assez gros mais qui ne me semblait pas être un sexe.
D'une main, le vieil homme m'écarta les lèvres et j'ai senti s'insinuer en moi un calibre qui m'était inconnu !
Quelques mouvements calmes succédèrent à d'autres plus rapides et violents tandis qu'il me léchait l'anus.
Je ne savais pas ce qui me procurait tant de bonheur, mais c'était merveilleux. J'ai cru à un gode, mais non.
J'ai eu deux orgasmes, le second semblant ne jamais vouloir s'arrêter tellement il était...
Puis il ôta cet objet. Je sentais mon plaisir couler sur mes cuisses. Il présenta l'objet à mon anus sans essayer de pénétrer (de toute façon, vu l'énormité de la chose, cela n'aurait pas été possible).
Il se releva, me retourna et m'embrassa avant de me faire sentir "la chose". C'était un saucisson qu'il avait pris dans le magasin !
Je vais peut-être en dégoûter certain(e)s parmi vous, mais après notre soirée, il l'a remis au magasin.
Et cette soirée n'en était qu'à son début !
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