Complicité d'un couple candauliste
Bonjour,
Je souhaite vous partager la complicité qui unit notre couple lors de nos rencontres avec un autre homme. Vendredi, mon mari m'a proposé de voir un homme qu'il avait contacté via une annonce en ligne. Connaissant parfaitement mes goûts masculins, j'ai immédiatement accepté en voyant les photos du prétendant. Le rendez-vous fut fixé au lendemain soir.
Cette perspective nous excita au point de faire l'amour trois fois de suite ce soir-là. Mon mari et moi imaginions et commentions la soirée à venir. Particulièrement excité, il précisait que l'homme avait accepté de l'humilier tout en profitant de moi.
Le lendemain matin, nous avons de nouveau fait l'amour au réveil avant de sortir. Mon mari m'offrit une épilation intégrale en institut, puis nous achetâmes de la lingerie neuve.
Une heure avant l'arrivée de notre complice, je pris une douche. Mon chéri me lava des pieds à la tête, effectuant même un lavement anal pour une propreté absolue.
Je m'habillai ensuite avec la tenue qu'il avait choisie : minijupe noire, talons hauts, collants avec porte-jarretelles et chemisier ultra-décolleté laissant le nombril à l'air.
Pendant que je me maquillais et coiffais, mon mari m'embrassait le cou en murmurant que j'étais magnifique, qu'il avait de la chance d'être mon époux et que mon amant du soir était privilégié.
Mon amant arriva à l'heure : un beau rebeu de 26 ans, look et attitude de racaille des cités. Sous le charme, je me sentais en totale sécurité avec mon homme à mes côtés.
En ouvrant la porte, il me lança : "T'es canon, je vais te détruire !" avant de m'embrasser fougueusement. S'arrêtant net, il toisa mon mari : "C'est toi le cocu ? Après qu'elle aura goûté ma bite, elle en voudra plus de la tienne !"
Au salon, mon mari nous servit un verre pendant que l'amant et moi nous embrassions passionnément sur le canapé. Soudain, il m'ordonna : "Lève-toi et penche-toi sur la table basse, présente-moi ton cul." Puis, admiratif : "T'as un cul de ouf ! Et pas de culotte... T'es une vraie chienne !"
Il lécha longuement mon sexe et mon anus. Mon mari vint se placer face à moi pour lire la jouissance dans mes yeux. Après un moment, l'amant l'interpella : "Petite bite, tu kiffes voir ta femme jouir avec un autre mec ?"
Assise sur le canapé, j'embrassai mon amant tandis qu'il déboutonnait mon chemisier pour caresser mes seins. Gémissant de plaisir, il commenta : "Tu mouilles à mort... Et ton cul s'ouvre sous ma langue, on voit qu'il veut être enculé !" Je murmurai : "Fais tout ce que tu veux de moi."
Sortant sa bite de son jogging, il ordonna à mon mari : "Dis à ta femme de me sucer." Mon mari, le regard noyé d'excitation, confirma : "Vas-y, suce la bite de notre invité."
À genoux, je le suçais goulûment tandis qu'il me tenait les cheveux. Mon mari s'allongea pour me faire un cuni, mais l'amant l'arrêta net : "Laisse son sexe ! Ce soir elle est à moi. Reste à ta place de chienne et lèche-lui les pieds." Mon mari commença immédiatement à lécher mes talons.
Après dix minutes, l'amant m'arrêta : "Arrête de sucer, je vais jouir." Nous nous embrassâmes, puis il envoya mon mari nous resservir. Verres remplis, mon époux s'assit dans un fauteuil. L'amant ordonna : "Retourne aux pieds de ta femme." Allongé sur le dos, mon visage écrasé sous mes escarpins, il nous regardait nous caresser. L'amant retira ses baskets et plaqua ses pieds sur son visage : "Là t'es à ta place : tu lèches des vrais pieds puants !"
Mon mari obéit pendant que l'amant me glissait : "Mate ton keum bouffer mes ippes, il kiffe grave !" Puis, tout en m'embrassant : "Où est la chambre ? Je veux te niquer."
Debout, mon mari demanda : "Tu as ton test MST ?" L'amant sortit de sa veste un test de moins d'une semaine : "Voilà mon droit de te baiser sans capote et de te remplir de foutre."
Il embrassa mon mari et lui ordonna : "Maintenant ferme ta gueule !" Une chaussette enfoncée dans la bouche le réduisit au silence.
Dans la chambre, il me fit garder collants et porte-jarretelles. Mon mari s'installa dans le fauteuil près du lit. L'amant s'allongea : "Bouffe-moi les couilles !" Je les léchai et suçai longuement avant qu'il ne me pousse la tête vers son cul, gémissant de plaisir.
Il me baisa en missionnaire un quart d'heure, nous insultant copieusement. J'adorais être pénétrée, jambes écartées, contemplant sa sueur couler. Tentant d'échanger un regard avec mon mari, l'amant me stoppa : "Regarde pas ton cocu ! T'es à moi ce soir." Il cracha dans ma bouche avant de m'ordonner : "À quatre pattes !"
Il lécha mon anus, y cracha plusieurs fois, puis me sodomisa en fixant mon mari : "J'encule ta femme ! C'est ma grosse bite qui défonce ta salope !"
Après quelques minutes, il retira pour pénétrer mon sexe : "Je vais te féconder !" Il me limita comme un marteau-piqueur. Hurlant de plaisir, j'enchaînai les orgasmes jusqu'à ses coups saccadés et son gémissement rauque : il venait de se vider en moi.
Retirant sa bite couverte de sperme, il m'ordonna de la lécher : "Il est bon mon jus ?" J'acquiesçai : "Divin." Il ricana : "Madame la salope a bon goût !" Puis à mon mari : "Tu veux lui bouffer sa chatte pleine de mon foutre ?"
Mon mari accepta, mais l'amant dégoûté rétorqua : "J'veux pas voir ça !" et partit au salon. Mon mari vint m'embrasser : "Je t'aime." Je répondis : "Je t'aime aussi." Il se glissa entre mes jambes pour un long cuni, avalant tout le sperme tout en se branlant.
"Suce-moi", ordonna-t-il. Je le fis, et il jouit en bouche en moins d'une minute. "Garde-le bien. Avale et va embrasser ton amant sans lui dire que je viens de jouir dans ta bouche."
De retour au salon, j'avalai le sperme de mon mari et embrassai l'amant fougueusement. À la fin du baiser, nous échangeâmes un sourire complice avec mon époux. L'amant exigea : "Je veux ta femme seule avec moi." Mon mari acquiesça : "Oui."
Dans la chambre, une nouvelle heure de sexe s'ensuivit. Il jouit dans ma bouche. Rejoignant mon mari au salon, je conservai le sperme et l'embrassai longuement pour le lui transmettre.
Notre complice partit en me remerciant : "C'était bizarre mais archi-excitant !"
Au lit, mon homme me fit l'amour plus de deux heures, me réveillant même la nuit pour "abuser" de moi.
Au réveil, je le suçai comme chaque matin. Il me remercia pour la veille : candauliste voyeur et humilié, il avait adoré.
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