Alex et Léa

24 juillet 2025
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Depuis longtemps, j’ai cette envie de raconter notre histoire, l’histoire de mon couple avec Léa. Mais hélas, à l’exception de quelques-uns de nos complices, amants ou amis libertins, je n’ai jamais eu le courage d’aborder ce sujet avec des proches ou d’assumer cette facette de ma vie, pourtant indispensable si l’on veut me connaître vraiment.

Ma famille, une bourgeoisie provinciale traditionnelle, est à cent mille lieues de pouvoir même l’imaginer. Mon milieu professionnel, si axé sur la compétition et le paraître, est certainement le dernier endroit où je pourrais en parler librement sans que cela ne nuise gravement à ma carrière.

Si dans les grandes entreprises il est tacitement admis qu’un homme puisse avoir des besoins ou des envies de maîtresses, être cocu représente probablement le pire revers dans ces jeux de pouvoir. Trouver un auditoire sans risque relève donc de la mission impossible, et pourtant, je ne suis coupable d’aucun crime.

Après 22 ans de mariage et près de 25 ans de vie commune, il ne reste dans notre couple que peu de traces des préceptes moraux traditionnels et de l’image modèle et idyllique du couple parfait sous tous rapports. Et même s’il est le berceau d’un amour profond et honnête, la majorité des gens ne pourrait, ni même ne voudrait en comprendre le fonctionnement, se contentant de nous juger et de nous rejeter pour se donner bonne conscience.

Attention, ne confondez pas : je n’ai pas besoin de me justifier. J’ai simplement envie de partager cela avec des gens capables d’apprécier, sans jugement ni appel à monsieur le curé pour un exorcisme express. Alors voilà, je me lance pour vous et j’espère que cela vous plaira.

Ce soir, ma superbe femme Léa est sortie avec Stéphane, son amant. Je le connais bien, puisque cela fait maintenant plus de deux ans qu’ils sont ensemble et qu’ils s’aiment. Ils rentreront probablement à une heure avancée de la nuit.

Il ouvrira le portail du jardin ; il a une télécommande que ma femme lui a offerte pour qu’il se sente ici chez lui et puisse venir quand il veut la voir et lui faire l’amour dans notre lit. Il rentrera sa voiture dans l’allée et se garera devant la maison en donnant un petit coup de klaxon pour me prévenir de leur arrivée.

Je descendrai, nu, à la cuisine pour sortir du frigo la bouteille de champagne et leur remplir deux coupes.

Vu la température plus qu’agréable ce soir, s’ils ont déjà fait l’amour avant de rentrer, ma femme sera entièrement nue, ne portant que ses chaussures. S’il avait fait trop froid ou s’il y avait du monde à la maison, elle aurait pu garder son manteau ou son imperméable, mais en étant entièrement nue en dessous.

C’est une règle très importante, sans exception : si elle fait l’amour en dehors de la maison, elle ne peut pas garder ses vêtements au retour et ne doit pas essuyer le sperme ou toute autre souillure qu’elle aurait sur elle ou en elle.

Cette tâche m’est réservée, et je dois la nettoyer avec ma langue.

Le carillon de la porte retentit ! Je dépose les deux coupes et la bouteille sur le meuble de l’entrée et j’ouvre la porte.

Ma femme est là, nue, l’index gauche sur la sonnette, la main droite entre ses cuisses emprisonnant son sexe. Elle me sourit ; ses seins sont fermes, les tétons pointent, signe de son excitation.

  • "Bonsoir mon chéri, tu vas bien ?"

Je vois son regard se poser sur ma bite et constater avec satisfaction que je bande fort.

  • "J’espère que tu ne t’es pas trop branlé ? Espèce de cochon !" dit-elle en riant.

Comme à chaque fois, cette situation m’excite au plus haut point. La voir rentrer heureuse de s’être fait baiser me rend dingue, peut-être même plus que de la baiser moi-même, et elle le sait.

Le maquillage de ses beaux yeux noisette coule légèrement. Le sexe de Stéphane est beaucoup plus gros que le mien et lui arrache parfois des larmes de plaisir. Ses cheveux mi-longs, châtains aux légers reflets rouges, sont un peu en bataille.

Je sais que Stéphane adore glisser doucement ses doigts dans les cheveux de ma femme quand elle le suce ou carrément les lui tirer, parfois très fort, quand il l’encule en levrette. Ce mélange de douleur et de plaisir la fait hurler.

  • "Chéri, dépêche-toi de venir, ça coule !" dit Léa.

Je me positionne vite à genoux devant elle, entre ses jambes, assis sur mes talons. Léa bascule son bassin en avant pour que sa chatte soit bien en face de ma bouche. Mon nez touche presque son pubis toujours intégralement épilé.

  • "Ça sent fort la salope en chaleur ici !" dis-je avec un sourire.

  • "Vu ce qu’un autre que mon mari vient de me faire... je pense que l’on peut le dire oui ! Mais quand je te regarde, je n’ai pas l’impression que tu t’en plaignes !"

Ma bite était tendue, raide de plaisir. Pendant que Stéphane s’emparait des coupes de champagne pour Léa et lui, Léa, elle, allait me donner mon nectar, que je n’échangerais contre rien au monde.

  • "Ouvre bien la bouche mon chéri, Stéphane m’a bien remplie avec sa grosse queue. Ça va couler vite !"

Effectivement, même si ma bouche était juste sous sa belle chatte, dès que Léa enlève sa main, un gros paquet de sperme s’échappe des lèvres de son sexe. La moitié du liquide arrive dans ma bouche.

Je l’avale en le dégustant et m’empresse d’enfoncer ma langue dans sa chatte de salope à la recherche du moindre reste de foutre ou de mouille. Je tourne ma langue et aspire bruyamment.

  • "Il aime ça mon cocu ?" demanda Léa à Stéphane qui buvait sa coupe de champagne en nous regardant.

  • "Tu m’étonnes" répondit-il. Il s’approcha de Léa pour lui caresser les seins et l’embrasser à pleine bouche, en laissant tomber ses vêtements sur le sol. Nous sommes maintenant tous les trois nus.

  • "Un gentil cocu est toujours content d’avaler le sperme de la grosse bite qui le cocufie. Pourtant, ce soir, il ne boit pas ce sperme dans sa femme, mais dans Ma pute." Lança-t-il fièrement.

J’entendis Léa qui gémissait, ma langue tournant dans sa chatte, les mains de Stéphane caressant fermement ses seins. Elle reprit son souffle et dit :

  • "Tu entends Alex ? Ce soir, je ne suis pas ta femme. Je suis sa pute, sa salope, je lui appartiens toute entière ! Tu as compris ? Je suis à lui, et il peut faire de moi ce qu’il veut !"

Je m’interrompis dans mon léchage et dis clairement :

  • "Oui chérie, tu es à lui toute entière."

En disant cela, l’autre moitié du paquet de sperme, qui n’était pas entré dans ma bouche et était en équilibre instable sur mon menton, tomba en fils successifs directement sur ma queue.

La sensation du sperme de l’amant de ma femme coulant sur mon gland, puis le long de ma bite jusqu’à mes couilles m’électrisa. J’étais au bord de l’éjaculation. J’aurais voulu être assez souple pour sucer ce sperme sur ma bite. Stéphane n’avait rien manqué de la scène. Il se pencha vers moi, attrapa ma queue et la serra fort à la base. Il dit à Léa :

  • "Oh mon amour, regarde, Alex a mon sperme qui lui coule sur la queue... Il éjacule mon sperme en quelque sorte, et ça coule par terre. Quel gâchis, je suis sûr qu’une salope comme toi ne peut pas laisser ça comme ça ! Mets-toi à plat ventre et lèche mon foutre par terre comme une pute !"

  • "Oui mon amour, bien sûr !" dit-elle en s’agenouillant et en embrassant à pleine bouche Stéphane au passage.

Stéphane, à genoux à côté de moi, tenait toujours ma bite dans sa main et se mit à la secouer pour faire tomber le sperme sur le carrelage, afin que sa pute vienne le lécher en tirant largement la langue.

  • "Tu vois, elle est à moi cette pute, je la baise bien à fond et elle jouit comme une folle d’avoir ma queue dans sa chatte et dans son cul..."

Sans prévenir, il enfonça l’index de sa main gauche bien au fond de mon anus et le fit bouger sans ménagement. Ce doigt dans mon cul, ma bite secouée et la vision de ma femme léchant le sperme de son amant par terre en se faisant traiter de pute... je ne pus retenir ma jouissance, incroyablement forte. La sentant monter, Stéphane orienta ma bite vers Léa et lui dit qu’elle allait avoir du rab.

De longs jets de sperme allèrent sur le sol et le visage de Léa qui se releva un instant pour me voir jouir, mais ne s’arrêta pas de lécher nos spermes... Elle adorait ça ! Juste avant de prendre ma queue dans sa bouche, elle me dit :

  • "Alex, tu n’as pas encore nettoyé la queue, mon chéri. Je pense qu’il serait temps de le faire. J’ai envie de faire l’amour avec lui encore. Tu vas sûrement dormir sur le canapé, puisque je suis à lui ; nous allons prendre la chambre !"

Stéphane se leva et me présenta sa queue qui reprenait de la vigueur. Je la pris en bouche et m’appliquai à la nettoyer et la remettre en forme pendant que Léa me suçait aussi.

  • "Ah, il n’y a pas à dire, c’est une bonne suceuse ton cocu... Allez viens mon amour, j’ai envie de toi. Viens m’embrasser, tu dois sentir le sperme comme une pute à cinquante euros. Viens, je vais te faire jouir et te faire gueuler comme une chienne."

Léa se releva et vint se blottir dans ses bras, l’embrassant tendrement et lui disant des mots d’amour qu’elle pensait très certainement.

Ils prirent les escaliers tous les deux, main dans la main, se dirigeant vers notre chambre. Juste avant de disparaître, ils s’arrêtèrent sur le pas de la porte, s’enlacèrent tendrement et s’embrassèrent fougueusement. À la fin de ce baiser, Léa se retourna et m’adressa un clin d’œil et un sourire.

Elle était heureuse et allait faire encore l’amour toute la nuit, en laissant la porte ouverte pour que j’entende tout ! Je sentis ma queue se remettre à bander...

Mais comment en est-on arrivé là ? Quelles étapes furent franchies pour que nous vivions ainsi notre sexualité, peut-être un peu "particulière", en toute liberté et complicité ?

Pour rendre mon récit plus digeste, je vais le découper en chapitres tout en respectant la chronologie pour montrer l’évolution. J’espère que vous l’aurez compris, mais je vous confirme qu’il n’y a aucun fantasme ni mensonge dans ce que je raconte. Seulement des faits réellement passés. Par contre, par souci de confidentialité, je changerai parfois le nom des personnes et des lieux.

A

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