J’ai longtemps hésité à envoyer ce texte de crainte de passer pour un pervers puis, au fur et à mesure des différentes lectures de certains récits, je me suis décidé. (Le mari JL)
C’est du vécu que j’aurais pu aussi nommer « tel est pris qui croyait prendre » et les travers ou fantasmes des couples varient en fonction de l’âge.
Jeunes mariés, c’est le fameux MMS… Matin, Midi et Soir, puis vient le souci du travail, des factures et des dettes, qui n’empêchent pas d’excellents instants.
Puis après, il y a l’enfant qui prend bien du temps et qui se met toujours à pleurer au moment où il ne faut pas… C’est comme ça, vous connaissez tous ces instants.
Les premières dérives
Revenons maintenant à mes « dérives sexuelles » appelées fantasmes. Nous aimions bien aller à Pigalle dans ces magasins de lingerie coquine, et je remarquais que ma douce laissait très largement entrebâillé le rideau de la cabine d’essayage, laissant se régaler les mateurs de l’endroit.
NB : Merci aux Papis et Mamies qui gardaient de temps en temps notre petite.
J’avais déjà un drôle de sentiment : pourquoi cette exhib ? Et en même temps cela m’excitait que les autres se régalent de l’instant… curieux !
L’exhibition grandissante
Ce plaisir d’exhibition se développa avec le temps. Un jour, au supermarché, un homme cherchait quelque chose dans un rayon. Elle s’approcha assez près, s’accroupit et le papy n’avait qu’à regarder cette culotte blanche derrière ses bas noirs sous sa jupe bleue… ah ! le « jeton ».
JL : T’es un peu « vache », il s’est régalé le mec.
LB : Oui, c’est une bonne action, il a apprécié et Maman va être gâtée ce soir car il pensera à ce qu’il a vu. Moi ça m’a excitée, et toi aussi car ce soir tu pourras y repenser pendant ma gâterie.
Il y avait aussi les montées et descentes de voiture : je ne compte pas le nombre de mecs qui se sont rincé l’œil !
(Parenthèse : au niveau fellation, cela fait des années qu’elle les améliore ; ce sont des « vide-bourses », excusez l’expression. Elle va jusqu’au bout et continue, m’épuisant jusqu’à ne plus pouvoir la pénétrer après, je l’avoue.)
Les étapes suivantes
Par la suite, ce fut bronzage seins nus, puis le string. « Oui, m’a-t-elle dit, mais tu paies l’épilation permanente… » OK !
Ensuite, il me vint une idée : jusqu’où était-elle prête à aller ?
En discutant avec Jean-Pierre (JP), qui avait fait un stage de massage en Thaïlande, je lui demandai si cela lui plairait de masser LB, mon épouse. Sa réponse fut plus que positive.
JL : Tiens, au fait, j’ai vu JP… il a fait un stage de massage, il souhaite t’en faire profiter à la maison.
LB : Bon, tu as souhaité que je me fasse bronzer seins nus, OK. Tu as voulu que je me mette en string, et maintenant tu souhaites que JP me masse. OK !
Le premier massage
Le jour J, JP arriva avec en plus un joli bouquet de fleurs. Il développa sa table de massage dans la chambre d’amis et invita Madame à le rejoindre.
Elle commença à se déshabiller, ses seins pointaient bien vers le haut, et arrivée à sa culotte qu’elle commençait à enlever, elle me regarda et me dit avec un air arrogant : « Tu peux nous laisser, s’il te plaît Chéri ».
Ce massage sans moi m’énervait. Cela dura une quarantaine de minutes… il lui faisait quoi ? J’étais bien tenté d’aller voir, mais il ne fallait surtout pas.
JP prit congé après avoir bu un café, sans commentaires particuliers.
Nous nous retrouvâmes tous les deux, j’attendais ses commentaires sans surtout pas dire « Alors ».
LB : Tu ne me demandes pas si ça s’est bien passé ?
JL : Non, je pense que cela a été très agréable.
LB : Oh, plutôt OUI. Il m’a bien massée partout, même les fesses, sans oublier de frôler ce petit trou intime que tu ignores trop souvent. Un petit lubrifiant et je me serais laissée faire.
Le deuxième massage
C’était pour m’énerver, me narguer ou tout simplement pour que j’en parle à JP… et bien je le fis.
JP fut étonné et me demanda si cela me gênait. Pas outre mesure, c’était plus ou moins un défi entre elle et moi.
2ᵉ jour J, même principe mais sans la table, moi dehors…
Au bout de quelques instants, j’entendis ma douce soupirer. N’y tenant plus, j’ouvris la porte… ah oui, position bien révélatrice : le doigt de JP faisait de doux allers-retours dans l’anus de ma belle.
Je m’approchai d’elle et lui dis : « T’es belle ».
Elle se dégagea et je pus m’introduire dans sa chatte trempée. Elle prit alors JP en bouche… je fus surpris mais j’ai pensé que cela faisait maintenant partie de notre règle du jeu.
Ça ne dura pas longtemps tellement nous étions excités et notre jouissance fut de concert.
Nous restâmes là, éberlués, chacun son kleenex à la main, manifestement tous ravis de l’instant.
Il fallait rompre l’instant : je me levai donc le premier, suivi de JP, madame allant se doucher. Quelque part, le plus « dur » fut la suite : l’apéro servi, on ne savait pas trop quoi se dire, normal, et JP s’en alla.
Les jeux de plage
En fait, cela déclencha chez madame une sorte de jeu. Quand nous étions en vacances sans la fille, sa tenue sur la plage, seins nus et string, ne restait pas inaperçue.
Les vacances étaient prises en septembre : moins chaud, moins de monde et aussi moins cher. De préférence Maroc ou Tunisie, beaucoup d’hommes seuls, veufs ou tout simplement célibataires.
Elle s’amusait à « chasser » dans le sexagénaire encore assez athlétique et non bedonnant. Son cinéma m’amusait et ce n’était pas sans me déplaire.
NB : comme je disais un peu au début, cela peut sembler plus que bizarre qu’un mari supporte ces instants et en jouisse… c’est comme ça, tant que les deux sont d’accord.
À la plage, elle « repérait » sa « victime ». C’était toujours assez rapide : installation ni trop près ni trop loin afin d’être repérée facilement. L’homme de 55/60 ans ne tarda pas à la dévorer des yeux.
Le lendemain, nous arrivâmes bien avant lui. Un quart d’heure après, la « cible » arriva et se posa pas trop loin de nous. Le lendemain, pareil, sauf qu’au passage il dit bonjour et se mit plus près.
La discussion finit par s’engager : « vous êtes de quelle région ? » patati patata. LB se leva et dit : « Je vais me baigner. »
William : Vous avez une femme superbe et ça ne vous gêne pas qu’elle s’expose ainsi ?
JL : Non, au contraire, j’en suis assez fier. De toute façon, c’est elle qui juge et décide.
William : Je suppose que ses tenues de ville ou de soirée sont aussi « révélatrices ».
JL : Oui, lui répondis-je simplement.
Comme vous avez l’air assez libres, si je vous invite ce soir à boire une coupe de champagne, je suppose donc qu’elle ne refusera pas d’endosser une super tenue de soirée ?
JL : Sûrement, je ne sais pas… ce soir alors ?
LB rigola lorsque je lui annonçai l’invitation. « Il veut une super tenue ? Et bien il va l’avoir. »
La soirée avec William
Une grande robe bleue à boutons tranchait adorablement avec son corps bronzé.
Accueil sympa, discussion sympa et variée. Et là, je m’aperçus, coquine, qu’elle n’avait pas mis de culotte… le William non plus d’ailleurs !
LB se leva et alla sur le balcon, d’où la vue était très agréable. William s’approcha d’elle et lui mit une main sur l’épaule : « Vous avez une peau très douce et excusez-moi, je me suis aperçu que vous n’aviez pas de dessous ! »
LB : Je sais, bien sûr, c’est pour vous.
Will : Ah bon ! J’en suis ravi… mais votre mari ?
LB : Nous sommes complices, n’ayez crainte.
Will : Je n’ai, malgré mon âge avancé, jamais caressé une « minoute épilée ». Je peux ?
LB : Ça se caresse et ça se lèche aussi.
Elle revint à l’intérieur, s’assit sur le canapé et, après avoir ouvert sa robe, écarté largement les jambes dévoilant toute son intimité… Le William ne savait plus quoi faire.
J’allai sur le balcon pour moins le gêner, et il se décida alors à plonger dans l’entre-cuisse de Madame.
Il se régalait et moi je commençais à avoir une érection… j’attendrais que nous soyons chez nous.
Elle prit son pied deux fois puis se leva et alla chercher ses mouchoirs humides. « Baisse ton short. »
Nettoyage de l’engin avec son mouchoir humide et mise en bouche. Le type était dingue, et je me dis que c’était parti pour « une complète ».
Ce fut le cas : il jouit à s’en évanouir. Jamais on avait dû lui faire un truc comme ça.
LB s’absenta pour aller à la salle de bains. William me demanda : « Et ça ne te dérange pas ces instants ? »
— Non, je te l’ai déjà dit, nous sommes complices et je jouis à la voir faire, fier d’elle et des autres sûrement jaloux que j’ai une femme comme ça. — « Pas faux », me répondit-il.
LB décida de partir. Bise, et à demain.
Et après ?
J’arrête là. Il y eut bien sûr d’autres aventures du même genre, avec des variantes issues des initiatives de madame.
Puis, le temps passant (aïe), nos relations personnelles commencèrent à se dégrader : elle ménopausée, moi la prostate me permettant toujours des érections mais modestes.
Alors maintenant ?
Bah, maintenant, pour employer un mot à la mode, je suis « influenceur » et j’aide les couples qui m’interrogent à franchir le pas.
Bien souvent, ce sont les compagnes qu’il faut convaincre et, une fois fait, elles deviennent « pires » que leur compagnon ou époux demandeur !
J’ai eu à faire, à ce jour, 3 « conseils » que je ne commente pas exprès, laissant l’intimité entre ces 3 couples et moi.
Un peu long mon texte, ok ! mais j’ai voulu résumer une vie sexuelle très active.
À votre disposition pour tous renseignements et avis qui pourraient vous être utiles…
Cordialement, candauliste
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