Alex et Léa : 2. La Jeunesse...

25 juillet 2025
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J’ai rencontré Léa à l’âge de 20 ans. Nous faisions tous les deux nos études d’ingénieur dans la même école parisienne. Fraîchement monté à la capitale depuis ma province natale, j’étais complètement absorbé par le rythme intense des études. Vu les efforts déjà consentis pour intégrer une grande école, je ne pensais à rien d’autre qu’à bosser !

À cette époque, mon expérience féminine se limitait à quelques aventures avant le bac. Mon maigre palmarès scolaire se résumait à trois ou quatre copines embrassées dans la cour du lycée ou au cinéma. Des filles dont je tenais la main en fumant une Camel (pour frimer), et dont je touchais les seins quand elles étaient assez complaisantes.

Rien d’extraordinaire donc, sauf Nathalie ! Celle qui, lors d’une nuit de "boum" dans le jardin d’un ami après le bac, accepta de coucher avec moi. Elle fit de moi le plus heureux des "presque plus puceaux" à 17 ans.

Puis vinrent les classes prépa. Ceux qui sont passés par là savent que les histoires d’amour ne résistent pas au rythme infernal de ces deux années… Même les amis d’avant ne comprenaient pas qu’on n’ait pas une heure par semaine pour boire un verre. Ils finissaient par nous oublier… Et pourtant, c’était vrai ! Entre les maths… et les maths, il n’y avait que les maths. Parfois, on changeait un peu… pour faire des maths ! (Humour de prépa, désolé, mais ça nous faisait rire).

Les concours passés, je n’intégrai pas Polytechnique, mais une grande école parisienne respectable. L’avenir s’annonçait radieux !

Ne vous méprenez pas : si j’étais un bon élève, je n’étais pas le fayot à lunettes et boutons avec un attaché-case en guise de cartable. 1m90, 90kg, mes années de rugby et handball se voyaient encore. Comme Léa le dira plus tard, j’avais les épaules larges, le buste solide et la mâchoire carrée. Le ventre ovale, héritage tardif du rugby, apparut bien après, quand seules les troisièmes mi-temps restèrent au programme :)

Mes amis proches étaient tous des garçons, étudiants plutôt doués comme moi ! Je n’étais pas devenu gay pour autant. Je me disais simplement que les filles préféraient les hommes riches et puissants aux jeunes branleurs, donc que tout arriverait en temps voulu. J’avais remarqué que lors de soirées, il suffisait que je révèle mon école d’ingénieur pour que les gens s’intéressent soudain à moi et que les filles minaudent :

  • "Wouah, t’es fort, hihihi ! Les maths, c’est trop dur pour moi ! Dommage, t’aurais pu me donner des cours… particuliers hihihi !"
  • "Eh oui ! Dommage… Mais t’étais où quand j’avais 15 ans et la zezette en cocotte minute, bridée au fond de mon slip ?"

Je développais un bon petit complexe de supériorité qui me protégeait efficacement des râteaux. Ces écervelées abonnées à Paris Match n’étaient pas assez bien pour moi !

Il me fallut huit mois pour repérer dans ma promo une jolie brune d’1m65, toute fine, aux petits seins gracieux, s’habillant toujours court ou moulant. Elle venait de banlieue Est et était à l’aise dans Paris. En réalité, c’est un pote qui ouvrit mes yeux :

  • "Tu connais la petite là-bas ? Ce matin en TP de maths, putain elle est bonne… mais en plus elle est bonne !"

De cet humour néandertalien typique des "presque plus puceaux", nous rîmes comme des bossus. Mais après l’hilarité, la vérité s’imposa : Oui, elle était bonne. Terriblement bonne. Et elle me plaisait énormément. Les semaines suivantes, je tentai maladroitement de me rapprocher d’elle.

Je pédalais dans la choucroute, sentant bien qu’elle ne s’intéressait guère à moi. Heureusement, j’étais fort en physique quantique et elle cafouillait avec les équations de Schrödinger. Pauvre Erwin ! S’il avait su que sa théorie me permettrait d’approcher ma future femme…

Au bal de l’école fin mai, je trouvai ENFIN le courage de l’embrasser. Fier de ma séduction, Léa me confia plus tard mon aveuglement face aux signes qu’elle m’envoyait depuis des semaines. Elle m’avoua même avoir parfaitement compris Schrödinger mais avoir joué l’idiote pour me faire plaisir… Quel boulet ! Mais un gentil boulet :)

Nous étions jeunes et inexpérimentés, surtout moi ! Je jouais l’habitué mais me laissais porter par Léa. Mon avantage : j’habitais seul dans un petit appart loué par mes parents, alors qu’elle vivait chez ses parents en banlieue peu reluisante.

Fille unique, Léa était la preuve que moins par moins donne plus ! Son père était aussi abruti qu’elle était intelligente. Sa mère rendrait l’héroïne de "Misery" sympathique en comparaison ! Une mante religieuse avait plus de compassion pour son mâle qu’elle n’avait d’amour à donner.

Naturellement, nous faisions l’amour chez moi aussi souvent que possible. J’étais beaucoup moins sérieux en cours, révisant plus souvent sa chatte que mes cours.

Nos rapports étaient fusionnels. Elle adorait sucer et avaler mon sperme, ce qui me rendait fou. Elle aimait la sodomie. Comme ma bite n’est pas énorme, elle réclamait presque systématiquement que je finisse dans son cul.

Elle aimait être nue toute la journée, se baladant à poil dans l’appart en riant quand je lui demandais de ne pas passer devant les fenêtres sans rideaux. Au deuxième étage, avec les lumières allumées la nuit, regarder par nos fenêtres équivalait à participer à notre intimité.

Si j’insistais :

  • "Arrête de montrer ton cul à tout le quartier !" Elle répondait agacée :
  • "On les emmerde, les vieux vicieux !" en faisant un bras d’honneur. "Occupe-toi plutôt de moi : si tu es dedans, personne ne pourra prendre ma chatte…" Bien sûr, je lui sautais dessus et nous roulions sur le lit ou le canapé en riant et nous embrassant. Ce scénario devint régulier et nous plaisait.

Un jour, alors que je la surprenais nue devant la fenêtre éclairée, prête à s’empaler sur ma queue, elle dit :

  • "Attends, problème… Tu es dans ma chatte, mais quelqu’un pourrait venir dans mon dos et me prendre par le cul ?" Feignant la panique, les yeux rieurs, j’enfonçai un doigt dans son cul :
  • "Préviens si ça arrive. Le voisin d’en face pourrait venir t’enculer ?"
  • "Oui oui oui, ça commence ! Il me prend ! Tu sens sa queue dans mon cul ? Continue ! Encore ! C’est bon, n’arrête pas…"

Je n’avais aucune envie d’arrêter. La voir réagir ainsi me faisait bander comme un taureau. La sensation de mes doigts le long de ma bite, de l’autre côté de la membrane, accentuait mon plaisir. J’avais l’impression de me branler dans sa chatte. Notre jouissance nous laissa sans voix ni force.

Nous enrichîmes ce scénario de mille façons. Nous donnions des noms de connaissances à mes doigts. Le soir, elle désignait qui devait l’enculer et j’introduisais le doigt correspondant.

Si elle imaginait des hommes bien membrés, ils pouvaient avoir plusieurs doigts. Je les rentrais tous, quoiqu’il lui en coûte. Elle me parlait de ses amants, de leur façon de l’enculer, si elle était heureuse, si elle les aimait…

Un soir, nous simulâmes qu’elle dormait seule et que le voisin la violait en mon absence. Je l’enculai avec deux, puis trois, puis quatre doigts sans la toucher ailleurs, lui disant des obscénités comme si c’était lui. Ses cris dans mon oreille confirmèrent qu’elle adorait ça ! Moi aussi ! À un moment, elle demanda à se retourner pour qu’ils éjaculent dans sa chatte. Ce fut ma queue qui entra, mais elle garda les yeux fermés, m’appelant "voisin" :

  • "Tu me baises bien… Reviens me faire l’amour quand mon copain sera parti…"

Je jouis comme jamais et lui dis :

  • "T’es une vraie perverse ! Mais j’adore ça !"

Mais la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Un gros nuage noir se forma dans mon ciel azuré. Aussi sournois que dévastateur.

Les parents de Léa cumulaient tous les défauts. L’avarice en faisait partie. Pingres au dernier degré. Pourtant, sans raison apparente, Léa ne manquait jamais d’argent liquide.

Nous étions ensemble depuis plusieurs mois. Mes parents et nous avions même parlé fiançailles. Je connaissais ses petits boulots étudiants, mais j’étais toujours plus pauvre qu’elle.

Un samedi soir, nus dans ma cuisine, elle sortit du frigo une belle côte de bœuf achetée chez le boucher pour me faire une surprise :

  • "Je la cuis dans ton four. Tu vas chercher des frites au McDo. Un repas royal pour mon chéri ! T’es content ?"

Le nuage éclata. Pour la première fois, une colère noire m’envahit. Je lui fis une scène violente :

  • "Depuis quand des étudiants s’offrent des côtes de bœuf ? Du caviar aussi ? Du Château Latour 82 ? Putain, c’est quoi ce fric ? Tu me prends pour un con ? Tu deales ou quoi ?"

Surprise et décontenancée, Léa s’effondra sur une chaise, le regard vague. Sa bouche s’ouvrit sans son. Ses yeux allaient vite de gauche à droite, signe que son cerveau tournait à plein régime. Je frappai la table :

  • "Arrête de chercher un mensonge ! Si tu ne peux pas dire la vérité, casse-toi !"

À peine hurlé, je réalisai la portée de mes mots. Elle se leva lentement, passa le seuil de la cuisine, la côte de bœuf toujours en main, me tournant le dos. Paniqué à l’idée de la voir partir, je lançai un "Léa ?" plaintif… Elle se retourna brusquement :

  • "Je pose pour des photographes !"
  • "Hein ???"
  • "Je pose pour des photographes pour me faire de l’argent." Mon énervement tomba d’un coup. C’était 1987 : pas de smartphones, ni internet.
  • "Ah bon ??? Bin c’est pas grave !" Dans ma tête, elle était assez jolie pour être mannequin.
  • "Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ? Tu fais ça quand ?"
  • "En fait, aucun cours particulier : à chaque fois, c’était un shooting."
  • "Pour des magazines connus ?"
  • "Non, des petits photographes de quartier, parfois amateurs."
  • "Tu gagnes combien ?"
  • "Entre 200 et 500 francs de l’heure, selon ce qu’il faut faire !"
  • "Wouah ! À 500 balles de l’heure, moi aussi je veux bien ! Ils prennent les garçons ?"
  • "Oui, mais ça ne te plaira pas !"
  • "Pourquoi ? Je préfère ça qu’enseigner les maths pour 50 balles ! On pourrait faire ça ensemble !"
  • "Non… pour les photos, faut être nu !" Cette réplique me cloua sur place, le cerveau vide…

Le silence s’installa. Puis la colère revint. Léa, nue, adossée au chambranle, allait passer au peloton d’exécution !

  • "Tu ne fais que des photos nues ?"
  • "Souvent oui."
  • "Nu artistique ?"
  • "Parfois."
  • "On voit ton visage ?"
  • "Oui !"
  • "Tes fesses ?"
  • "Oui !"
  • "Tes seins ?"
  • "Oui !"
  • "Ta chatte ?"
  • "Oui !"
  • "Ouverte ?"
  • "Oui parfois !"
  • "Des photos de pute quoi ! Tu as fait du porno ?"
  • "…" (Silence)
  • "T’es sourde ?" Les yeux de Léa s’emplirent de larmes, mais elle resta droite. Les larmes coulaient.
  • "Non."
  • "Alors, t’as fait du porno ?" D’une voix monocorde :
  • "Je pense que oui !"
  • "Tu t’es déjà faite baiser devant un photographe ?"
  • "Oui !"
  • "Souvent ?"
  • "Non !" Et elle ajouta : "… mais pas une seule fois depuis qu’on est ensemble, je te jure !" Elle se jeta à mes pieds, parlant vite :
  • "Je ne savais pas comment te le dire ! J’étais coincée ! Mes parents ne me donnent rien. Venir chez toi coûte cher. Vivre avec toi ne signifie pas vivre à tes crochets. Je ne pouvais pas diminuer les shootings. Au contraire, j’en ai cherché plus en arrêtant les trucs les plus rémunérateurs. Parce que je t’aime ! Je ne voulais pas te perdre ! Comment faire autrement ? Cet argent, c’est pour nous ! Pour notre bonheur ! Tu comprends ? Réponds-moi !"

À genoux, elle tentait d’attraper mes mains que je refusais. Mon sentiment de trahison était violent. Elle posa sa tête sur ma cuisse, ses larmes coulant. Je n’étais pas un tortionnaire et je l’aimais comme jamais. Mais je n’étais pas prêt à faire comme si rien ne s’était passé. Je voulais TOUS les détails.

J’allumai une cigarette :

  • "Tu as commencé quand ?"
  • "À 17 ans, en terminale. Une annonce du photographe du coin pour des photos style David Hamilton."
  • "Nu tout de suite ? Tu y allais pour ça ?"
  • "Oui !"
  • "Ça t’excitait ?"
  • "Oui !"
  • "Combien de photographes ?"
  • "Une grosse dizaine."
  • "Tous pour du nu et plus ?"
  • "Oui !"
  • "Du porno avec tous ?"
  • "Oui quasiment !"
  • "C’est quoi les trucs les mieux payés ?"
  • "Mais j’ai arrêté ça depuis qu’on est ensemble ! Je ne fais que du nu soft ou artistique ! Je te jure !"
  • "Ok. Alors c’était quoi, avant ?"
  • "Baiser avec un mec ou une fille !"
  • "Tu l’as fait ?"
  • "Oui !"
  • "Avec une fille ? Vous vous êtes léchées la chatte ?"
  • "Oui !"
  • "Les mecs, tu les connaissais ?"
  • "Non, sauf si déjà croisés en shooting, mais peu."
  • "Ça t’excitait de baiser avec eux ?"
  • "Oui !"
  • "Tu as joui ?"
  • "Oui !" Plus je questionnais, plus mon excitation montait. Les images mentales de Léa faisant du porno me troublaient.
  • "Tu avalais leur sperme ?"
  • "Parfois oui !"
  • "Sinon ?"
  • "Sur ma chatte ou mon cul !" Léa, la tête sur mes cuisses, vit ma bite durcir. Incohérent pour une rupture. Elle se redressa à genoux, douce et tendre :
  • "Pose toutes tes questions mon amour ! Je te dirai tout !" Et soudain, elle plongea pour prendre ma queue dans sa bouche et me sucer à la perfection. Trop lâche pour arrêter, je la laissai faire.
  • "C’était quoi LE truc le mieux payé ?"
  • "Coucher avec le photographe !"
  • "Tu l’as fait ?"
  • "Oui, avec tous !" Elle s’arrêtait pour répondre, mais sa main me branlait doucement.
  • "Ils ont pu t’enculer ?"
  • "Oui tous… Sauf un, trop gros et maladroit."
  • "Depuis qu’on est ensemble, aucun n’a essayé de te toucher ?"
  • "Si !"
  • "Tu les as tous repoussés ?"
  • "Tous sauf les plus gentils, ceux qu’il ne fallait pas fâcher." À ces mots, une décharge électrique traversa mes couilles. J’éjaculai violemment dans la bouche de Léa.

Elle avala tout, nettoya ma queue et la garda en bouche jusqu’à débandaison totale. Puis, elle chercha à m’embrasser. Je détournai la tête :

  • "Pars. Je ne sais pas où j’en suis, mais tu m’as trahi." Je pleurai à chaudes larmes quand elle fut partie…
A

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