Malgré moi ça me plaît

6/11/2025
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Je m'appelle Sylvain, 28 ans, marié depuis trois ans à Élodie, 24 ans, après quatre ans de vie commune. Élodie est une belle jeune femme blonde aux yeux bleus, mesurant 1,65 m pour 56 kg, avec de très beaux seins.

Timide et réservée, elle manque totalement de confiance en elle, mais elle incarne la gentillesse et la douceur. Sexuellement très classique à mon grand désespoir, j'adore néanmoins lui faire l'amour.

Cet été, nous avons eu l'occasion de partir en vacances en Corse chez Jacques, un collègue de 50 ans possédant une maison à Calvi. Nous rêvions de visiter la Corse depuis longtemps, et il nous proposa gracieusement son logis.

Nous sommes arrivés le samedi à midi. Jacques nous récupéra à l'aéroport et nous installa chez lui dans une belle maison où l'appartement du bas nous était réservé, avec un véhicule à disposition.

Pendant trois jours, Jacques fut absent puis revint nous faire découvrir les beautés "extraordinaires" de la Corse. Jacques et Élodie avaient beaucoup de points communs comme la nature ou l'art. Leurs discussions duraient des heures. Un jour, en allant au marché tous les deux, Jacques me complimenta sur mon choix d'avoir épousé Élodie, qu'il trouvait belle et intelligente.

Au fil de la discussion, il m'avoua qu'elle avait un côté timide très attirant sexuellement et qu'il craquait pour sa poitrine, qu'il devinait sous son maillot ou ses tee-shirts. Puis il ajouta : "C'est le genre de femme qui adore le sexe en général."

Je lui confiai qu'elle n'avait connu que moi et qu'elle était très timide sexuellement. Il rigola et rétorqua : "Je suis sûr qu'elle est chaude mais qu'elle n'ose pas parce que tu es son mari." Je répliquai : "Tu parles, elle est sérieuse et c'est comme ça."

Il me dit : "Je parie que si tu me laisses une soirée entière avec elle, je la décoince." Confiant en elle et en moi, j'acceptai le pari.

Le lendemain soir, après une balade diurne et un bon repas préparé par Jacques, ils reprirent une longue discussion en ayant bien bu.

Elle s'absenta un moment pour aller aux toilettes. Jacques me demanda alors : "Tu es prêt pour le pari ?" Je confirmai mon accord. Dix minutes après, je m'excusai, prétextant la fatigue de la journée, et feignis d'aller me coucher.

Notre chambre donnait de l'autre côté. Je me rendis dans la chambre de Jacques à l'étage, juste au-dessus d'eux. Après avoir ouvert la fenêtre, j'entendis et vis ma femme et Jacques discuter. Ils burent beaucoup, ce qui me surprit venant d'Élodie.

Puis Jacques lui avoua qu'il la trouvait très belle et qu'elle lui faisait beaucoup d'effet. Elle rit et lui dit : "Ah bon, à ce point ?" Il répondit : "Pire que ça. D'ailleurs, je vais me jeter à l'eau pour ne pas prendre feu." Il se leva et plongea habillé dans la piscine. Elle rigola de le voir se jeter ainsi et le traita de fou.

Après être sorti de l'eau, elle lui demanda si ça lui avait fait de l'effet. Il répondit : "Pas vraiment." Il ôta son haut en le lui jetant. Elle rigolait puis il s'approcha d'elle et fit mine de lui faire un strip-tease. Elle était morte de rire.

Il baissa son pantalon et se mit en caleçon, le cachant avec une serviette. Elle s'exclama : "Tu es complètement fou ce soir !" Il se tourna, enleva le caleçon en gardant la serviette autour de la taille, et lui lança le caleçon.

Elle le prit et dit : "Hmm, quel programme !" Il s'approcha très près, écarta les pans de la serviette avant de les refermer, et reprit son déhanchement en reculant. Elle s'exclama : "Oulala, c'est moi qui te met dans cet état ?"

Il lui dit : "Oui, je t'avais prévenue." Puis il s'assit face à elle et demanda : "Tu es surprise ?" Elle répondit : "Quand même, tu es fou, mon mari est là."

Il demanda : "Tu l'as déjà trompé ?" Elle dit : "Non, jamais, je l'aime." "Et ce soir, tu n'as pas envie d'essayer ?" "Si je n'étais pas mariée, je t'avoue que... !"

Il proposa : "Ça te dit de me regarder me masturber devant toi ? Tu ne fais rien, tu regardes, ce n'est pas tromper." Elle répondit : "Ok... Je ne sais pas, tu es fou."

Il dit : "Regarde." Il ouvrit la serviette et se leva, en érection. Il commença à se caresser, étant a priori assez fortement membré.

Au bout de deux minutes, il lui demanda si elle trouvait cela agréable. Elle répondit que c'était beau. Il demanda si son sexe lui plaisait.

Elle avoua être surprise par la taille mais acquiesça. Il dit : "Je peux te demander un truc perso ?" Elle dit oui. Il lui demanda de lui montrer ses seins. Elle accepta et dégrafa son haut.

Il s'exclama : "Quelle merveille !" Puis, au bout de trois minutes, il se leva, s'approcha en disant qu'elle le rendait fou. Il posa une main sur son sein droit, le caressa, et approcha son sexe qu'il frotta sur son sein. Elle murmura : "Tu es fou."

Il répondit : "Chuut, laisse-moi faire." Il se baissa, embrassa ses seins, se releva et frotta à nouveau son sexe sur eux. Il ordonna : "Prends-le et caresse-le." Ma femme le prit en main et le masturba.

Il demanda si elle aimait son sexe. Elle dit : "Oui, beaucoup." Il ordonna : "Mets-le entre tes seins et branle-moi avec." Elle le fit sans mot dire.

Il dit : "Tu as des seins faits pour ça, mais j'avoue que j'ai envie de ta bouche." Elle protesta : "Non, il ne faut pas." Il répliqua : "Chuut, suce-moi, tu vas voir, c'est très bon."

Puis il posa son sexe sur ses lèvres, lui prit la tête et pénétra sa bouche. Il ponctuait de petits commentaires : "Voilà, c'est bien, suce-moi", "Remets-la entre tes seins", "Suce-moi". Ma femme s'exécutait en silence.

Il l'aida à se lever, l'allongea sur la table et lui présenta à nouveau son sexe qu'elle suça pendant qu'il la caressait sous sa jupe. Puis il dit : "Attends." Il sortit sa queue et jouit sur son visage et dans sa bouche en longs jets. Il l'embrassa et dit : "Tu vois, c'est bon. Bouge pas." Il se plaça entre ses jambes et lui lécha le sexe.

Elle jouit plusieurs fois sous sa langue. Puis il souleva ses jambes et la pénétra. Il la baisa violemment en lui disant qu'elle était une bonne petite femme qui aimait la bite. J'étais fou, je bandais comme un fou. Il la releva, la mit à quatre pattes sur un matelas de piscine et la prit en levrette.

Elle jouissait. Il lui parlait sans arrêt, sortant parfois sa queue pour lui faire sucer. Après qu'elle eut bien joui, il voulut la sodomiser mais elle refusa, prétextant qu'il était trop gros. Il finit par la baiser à nouveau et la força à tout avaler. Après un bain dans la piscine et un verre de champagne, elle monta se coucher.

Pour la suite, ce sera bientôt.

B

À propos de brandy