Ma femme et mon patron - 1

Nous sommes mariés depuis 20 ans et avons la cinquantaine tous les deux.

J'ai toujours été attiré par le candaulisme depuis l'âge de 30 ans.

L'histoire récente qui m'excite toujours énormément remonte au mois dernier : j'ai invité mon patron à la maison contre l'avis de ma femme, qui n'était pas très d'accord. Pour elle, c’était délicat vis-à-vis de lui et de mes collègues de travail. De plus, il était obligé de dormir sur place, à l'hôtel, car il habite très loin de chez nous.

Nous avons pris l'apéritif chez moi. Nathalie fut agréablement surprise car mon patron est plutôt grand, assez beau gosse et n’a rien à voir avec les PDG gros et moches habituels.

Ma femme, une belle blonde à forte poitrine, lui a aussi tapé dans l’œil. Je m'en suis aperçu presque tout de suite car il ne regardait plus qu'elle et j'avais pratiquement disparu du paysage...

Nathalie portait une robe noire simple, des bottines et des collants avec des jolis motifs.

La discussion fut intense entre eux pendant plus d’une heure. Ma femme était très attirée par son charme, j'en ai eu la confirmation un peu plus tard dans la soirée.

Puis nous sommes allés au restaurant en voiture. Jean-François a demandé à Nathalie si elle souhaitait s'asseoir devant, à côté de lui. Sa réponse fut : "Avec plaisir, Jean-François".

Tilt dans ma tête. Habituellement, elle n'utilise pas ce genre d'expression, et surtout en ajoutant son prénom à la fin... Trop, non ?

Au lieu de s’asseoir normalement, elle a remonté sa robe jusqu’à mi-cuisse et s’est positionnée en amazone, tournée face à lui. Elle n’a tourné la tête vers la route à aucun moment, le mitraillant de questions parfois débiles, mais qui semblaient plaire à Jean-François. J’étais comme un fou à l’arrière, mon cœur battait la chamade à cause de l'excitation que provoquait son attitude inhabituelle.

J'ai senti une liaison sentimentale se construire devant moi sans que je puisse rien faire. J'étais le mari exclu de la soirée.

Au restaurant, elle s’est assise à côté de lui sur la banquette.

À plusieurs reprises au début, ils se sont regardés intensément, sans forcément parler en même temps. C’était incroyablement excitant. J’avais une érection énorme, au bord de l’éjaculation, mais avec un sentiment d’exclusion qui me permettait de garder la tête froide.

Vers la fin du repas, je me suis levé pour aller aux toilettes. À mon retour, du fond de la salle sans qu’ils ne puissent me voir, j’ai attendu un instant en observant ce qui allait se passer.

Nathalie était toute souriante... Jean-François a posé la main sur son bras, puis sur sa jambe... Mais je ne pouvais pas voir ce qu’il faisait exactement car j’étais trop loin.

J’ai eu envie d’intervenir pour stopper le début de leur liaison, mais je n’en ai pas eu le courage.

Quand je suis revenu à table, Nathalie était rouge comme une pivoine. Dans ses yeux, j’ai compris que Jean-François venait de lui confirmer son désir sexuel.

Au café, j’ai vu cette fois-ci le bras de Jean-François plongé sous la table. En même temps, il m’a posé une question : "Dis-moi Vincent, je pense que je vais te proposer le poste de directeur technique à la place de Thierry ! Il va falloir que tu déménages sur Strasbourg, et Nathalie semble d’accord à priori. Qu’en penses-tu ?"