Ma femme et mon patron ?

Notre jeu m'excitait de plus en plus, mais surtout ma femme était excitée par le fait d'être autant désirée par les hommes. Elle découvre ses charmes et son pouvoir de séduction. Je sentais qu'elle était prête à franchir le cap, alors j'en ai reparlé avec elle. Elle m'a avoué que ça la tentait bien, mais qu'elle avait peur qu'après s'être donnée à son amant, je ne la voie plus comme avant, mais comme une salope qui a trompé son mari. Je l'ai rassurée en lui disant :

"Ma chérie, bien au contraire. Je t'aimerai encore plus, de toute façon, tu ne me feras pas cocu puisque je suis consentant. Notre amour sera encore plus fort, avec cette complicité entre nous. Je suis tellement fier de voir tous ces hommes désirer ma femme. Je suis sûr que certains se branlent en pensant à toi, à ton cul, à tes seins, comme Michel, mon patron."

Elle m'a répondu :

"Tu exagères, il y en a d'autres bien plus belles que moi."

"Oui ! Mais elles n'ont pas ta sensualité, ce petit plus qui attire le regard et le désir des hommes comme toi. De toute façon, si au dernier moment tu changes d'avis, personne ne t'oblige à continuer."

"Oui, mais je dois t'avouer que ça me gêne que tu sois présent."

"Ah bon ? Si c'est ça, tu es libre de le faire quand tu veux. Tu me préviens par SMS que tu rentreras tard, ça te va ?"

Même si j'étais déçu de ne pas être là pour voir ma femme prendre son pied dans les bras d'un autre homme, j'ai accepté. Quelques jours ont passé depuis cette discussion et toujours rien. Je commençais à désespérer quand, miracle ! Alors que j'étais au bureau, j'ai reçu un SMS de ma femme : "Ne m'attends pas pour dîner. Je t'aime." J'étais content, mais une petite pointe de jalousie m'a traversé. Incapable de me concentrer sur mon dossier, j'ai décidé de lui envoyer un message : "Je t'AIME, profite bien." Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu une érection. J'ai dû aller aux toilettes pour me branler en pensant à ma femme en train de se donner à son amant.

Un peu avant minuit, au lit, je me suis encore masturbé trois fois tellement j'étais excité en attendant son retour. J'ai enfin entendu le bruit de la serrure ! Le claquement de ses talons sur le parquet me semblait interminable, du hall à notre chambre. Enfin ! Ma chérie, ma femme, ma salope était là. Plus belle et plus désirable que jamais. Malgré son air fatigué, les traits tirés, les yeux cernés, elle me semblait encore plus femme. Elle avait l'air un peu gênée, un peu honteuse. Je me suis levé pour la prendre dans mes bras, je l'ai embrassée et je lui ai dit :

"Je t'aime ma chérie, tu es enfin une femme comme j'en ai toujours rêvé."

Elle s'est apaisée et rassurée :

"C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas ? J'ai honte, je me sens sale. Je vais me déshabiller et prendre une douche et je reviens."

"Non, ne te douche pas, reste comme ça. J'ai envie de sentir l'odeur de ta transpiration après avoir fait l'amour avec ton premier amant... et j'espère que ce n'est pas le dernier !"

"Je ne sais pas, on verra. Pour le moment, c'est trop récent."

Elle s'est blottie dans mes bras sous la couette. Je sentais l'odeur d'une femme qui venait de faire l'amour pendant des heures. Je mourais d'envie de lui demander de me raconter comment ça s'était passé, mais je sentais qu'elle avait surtout besoin de tendresse et de caresses. Pourtant, cette odeur m'excitait, j'avais une érection. Elle l'a senti contre sa jambe et m'a dit :

"Mon pauvre chéri, pendant que moi je faisais l'amour, tu étais tout seul... Mais je suis trop crevée pour recommencer."

"C'est pas grave ma chérie. Je dois t'avouer que je me suis branlé trois fois tellement ça m'excitait de t'imaginer avec ton amant. Laisse-moi juste embrasser et lécher ta chatte."

"Mais... je ne me suis pas lavée..."

"Bien au contraire ! C'est cette odeur de ta mouille, toute fraîche après les assauts de ton amant, qui m'excite !"

Sans attendre sa réponse, j'ai enfoui mon visage entre ses cuisses trempées et sa chatte encore dégoulinante. J'ai léché et avalé toute sa mouille. En plus, elle a encore joui quand je l'ai pénétrée. Tellement excité, après quelques va-et-vient seulement, j'ai déchargé avec un plaisir fou. Nous nous sommes endormis jusqu'au matin. Tandis que ma salope chérie dormait encore profondément, je me suis levé en silence pour lui préparer un copieux petit déjeuner que je lui ai servi au lit. Elle m'a dit :

"Bonjour mon amour, tu me gâtes... Je crois que je devrais prendre un amant plus souvent !"

Voilà qui promet d'autres aventures.