Marc et Élodie m'avaient abordé sur un site libertin. Marc, un homme charmant, cherchait avec l'accord de sa femme des amants qui leur correspondaient à tous les deux. Nous avions longuement discuté sur la plateforme.
Élodie, une belle brune de 40 ans aux jolies rondeurs, participait aux échanges, mais c'était Marc qui menait véritablement la danse.
Après trois mois de prise de contact, Marc me donna le numéro de sa douce en déclarant : "Tu la mérites, je te donne les clés".
Élodie fut ravie de passer au concret. Marc l'avait parfaitement briefée, elle savait tout de moi. Elle me fixa un rendez-vous chez eux pour un dîner.
Leur maison, située à la campagne dans l'Essonne (91), possédait un joli jardin. Élodie vint m'ouvrir, Marc se tenant derrière elle. Elle portait une robe légère très décolletée.
Marc me salua tout en filmant mon arrivée ; je devinais son excitation.
Élodie m'enleva ma veste, me prit par le cou et m'embrassa profondément, langue comprise, à mon plus grand plaisir.
Elle me prit la main et me conduisit au salon où elle me tendit une coupe de champagne.
Nos regards se croisèrent. Je commençai à remonter ma main le long de sa cuisse. Elle se laissa faire. Je découvris qu'elle ne portait pas de sous-vêtements. Une chatte lisse et déjà bien humide m'attendait.
Elle ne dit rien mais se leva, s'accroupit face à moi, la coupe à la main. Son autre main déboutonna mon pantalon pour libérer mon sexe déjà bien raide.
Elle me fit lever et entama une pipe, toujours la coupe en main. Sa bouche était douce. Je ne dis rien, me laissant faire, apercevant Marc ravi.
Elle retira mon sexe de sa bouche et annonça : "Nous allons prendre l'apéritif, tu es d'accord ?" Sans attendre ma réponse, elle trempa mon sexe dans la coupe de champagne, ce qui eut pour effet d'atténuer un peu mon érection. Elle le remit aussitôt dans sa bouche. Sensation étrange mais extrêmement excitante. Voilà sa façon de prendre l'apéritif. Elle termina tout le verre ainsi, attisant en moi une envie de plus en plus forte de la prendre. Ne voulant pas briser le moment, je la laissai faire.
Je n'avais pas remarqué, mais l'effet du champagne sur elle était particulièrement visible. Elle était un peu pompette mais maîtrisait parfaitement son sujet.
Mon regard croisait celui de son mari ; je le voyais se caresser tout en filmant.
Puis elle se leva, se mit à quatre pattes sur le canapé et me lança : "J'ai envie de petits fours", tout en soulevant sa robe pour dévoiler sa croupe et son abricot déjà bien coulant.
Mon désir était tel que je m'équipai très vite d'une capote et la pris en levrette.
Elle me criait : "Plus vite ! Vide-toi en moi !". C'était elle qui menait la danse.
Une fois joui, elle s'assit sur le canapé et vint me nettoyer le sexe avec sa bouche.
Son mari arriva, posa sa caméra et lui nettoya le sexe à son tour avec sa langue.
Élodie me regarda et déclara : "L'apéritif étant fini, nous allons passer à table". La soirée ne faisait que commencer.
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