Oui, ma douce et tendre épouse, ma cruelle maîtresse. Pardonne-moi si je ne parviens jamais à te satisfaire avec mon petit zizi, que tu n’as jamais ressenti au plus profond de ta chatte ou de ton cul.
Mon tout petit pénis, dont j’ai honte, et que tu as toujours comparé à un clitoris.
Profite bien de l’énorme bite de ton amant, qui te lime vigoureusement, qui te laboure en profondeur, qui te dilate intensément.
Pendant que tu baises avec ton amant et ses potes, moi, je t’attends à la maison. Je porte tes dessous coquins, je suis devant mon PC, bien enfilé sur mon énorme gode. Je mate des vidéos de BBC, celles qu’on adore tant et qui nous excitent follement.
J’attends fébrilement ton retour pour que tu me détailles tout, absolument tout, sans le moindre oubli, comment s’est passée ta nuit et comment tes amants t’ont baisée tour à tour.
Je nourris l’espoir que tu as ramené dans ta chatte et ton cul un peu de leur foutre à savourer lentement, à déguster goulûment.
À propos de loulous
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