Alex et Léa : 4. L’obstétricien (partie 2)

25 juillet 2025
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Une fois le bébé recouché, j’exigeai que Léa me raconte tout à nouveau sans omettre un seul détail. Même si la première révélation avait été fracassante, de nombreuses zones d’ombre persistaient... Je savais seulement qu’après une consultation pour contrôler la cicatrisation de sa césarienne, Léa s’était retrouvée nue devant son obstétricien, un dermatologue, un kinésithérapeute et un patient. Qu’ils l’avaient tous touchée partout, masturbée et qu’elle avait joui trois fois. Mais l’enchaînement des scènes, les réactions de Léa et la réalité des événements restaient flous ! Surtout, comment cela s’était-il terminé ?

Pendant que Léa s’occupait du bébé, je m’étais inconsciemment déshabillé comme chaque soir en rentrant. L’idée de ressortir m’avait quitté. Des pensées tumultueuses m’assiégeaient : la nature profonde de Léa, son goût pour l’exhibition et le sexe cru, ce qu’elle avait fait avec d’autres hommes avant moi. Ces souvenirs émergeaient en désordre – flashs, sensations, odeurs, émotions – avec une intensité incontrôlable qui me fit bander dur sans raison consciente.

Léa revint dans la chambre, tête basse :

  • "C’est bon, le bébé d...ort."

Elle venait de voir mon érection. Elle me sourit, sans un mot, juste une tendresse intense dans le regard. Elle ouvrit sa robe de chambre et vint s’allonger nue près de moi sur le lit.

Elle me décrivit alors minutieusement, autant de fois que je le demandai, les événements de la journée. Je vais tenter de vous les restituer, parfois en style direct pour fluidité et réactivité.

Léa avait pris rendez-vous la semaine précédente avec son obstétricien. La clinique était à moins d’un kilomètre. À la prise de rendez-vous, il lui avait recommandé une jupe ample (pour éviter une déshabillage complet) et une épilation intégrale du sexe pour faciliter l’examen cutané.

Vêtue d’un corsage sage, d’un soutien-gorge blanc simple, et d’une jupe d’été fluide – sa chatte fraîchement épilée sous une petite culotte blanche –, Léa se rendit à la clinique. Après une attente en salle, elle fut appelée.

Le cabinet, que je connaissais pour y être allé durant la grossesse, était une grande pièce rectangulaire aux murs capitonnés et portes doubles. Des esquisses de femmes nues ornaient les murs, suggérant que la nudité y était normale. Derrière le fauteuil médical, des diplômes attestaient du sérieux des lieux.

D’un côté, le bureau avec dossiers empilés ; de l’autre, le fauteuil d’examen avec étriers. Une banquette servait à déposer les vêtements. Après les formalités, le médecin demanda :

  • "Qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui ?"

  • "Docteur, ma cicatrice m’inquiète. J’ai des sensations internes bizarres, des douleurs inexplicables. Je me crispe, ce qui empire tout. Je n’ose plus faire l’amour avec mon mari. Suis-je normale ?"

  • "Mmmmh !" L’obstétricien hocha la tête. "Retirez votre culotte et asseyez-vous sur le fauteuil."

Léa ôta ses chaussures, fit glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle laissa sa jupe, pensant que l’examen serait bref. Releva l’arrière de sa jupe pour s’installer. Le médecin l’aida à placer ses pieds dans les étriers. Il souleva doucement le devant de la jupe, découvrant son sexe intégralement épilé. Il palpa l’intérieur de ses cuisses, caressa son pubis et son ventre. Puis il s’agenouilla entre ses jambes ouvertes et commença à jouer avec ses lèvres et son clitoris. Il enfonça ses doigts dans son vagin. Après quelques minutes de va-et-vient, Léa commença à mouiller. Elle masquait difficilement son plaisir croissant – respiration saccadée, petits couinements étouffés. Sortant deux doigts trempés, il demanda :

  • "Ne préféreriez-vous pas retirer votre jupe pour éviter les taches ? Devant sa confusion, il ajouta : "Ne soyez pas gênée. Pour un examen précis, je dois vérifier si les couches internes découpées lors de la césarienne présentent des faiblesses. Avant l’IRM, je veux un examen clinique profond. Cela nécessite que vous soyez détendue et n’inhibiez aucune réaction."

Léa se leva, traversa la pièce pour déposer sa jupe près de sa culotte et ses chaussures. Pendant qu’elle se déshabillait, il expliqua :

  • "Pour comprendre vos douleurs avec votre mari, je dois recréer les conditions... médicalement ! Comme un test d’effort cardiaque. Nous allons solliciter fortement votre appareil génital pour analyser ses réactions. D’accord ?"

  • "Oui, d’accord !" répondit-elle en revenant vers le fauteuil, nue du bas.

Au milieu de la pièce, il ordonna sévèrement :

  • "Stop ! Reculez, soulevez votre corsage au-dessus du ventre et marchez vers moi... Stop ! Écartez les jambes... De profil... Rentrez le ventre, sortez-le... De dos... Penchez-vous !"

Il la scrutait intensément pendant qu’elle exécutait les mouvements. Plus elle obéissait, plus Léa sentait sa mouille imprégner son entrejambe et couler sur ses cuisses. Il lui demanda de se rasseoir dans le fauteuil. Sans réagir à son sexe trempé, il inséra un spéculum dans son vagin, l’ouvrit au maximum et déclara :

  • "Je suis perplexe. Permettez-vous que je consulte un confrère dermatologue ? Votre cicatrice m’inquiète."

  • "Oui ! Il vient ici ? Je me rhabille ?"

  • "Oui, il arrive. Restez ainsi !"

Il appela un collègue. Une minute plus tard, un homme d’environ 50 ans entra et découvrit Léa, jambes écartées, chatte épilée dilatée par le spéculum. Après un bref salut, les deux hommes discutèrent sérieusement devant son sexe ouvert, utilisant un vocabulaire technique. Léa sentait sa chatte s’humidifier davantage. Le dermatologue s’assit, retira le spéculum et enfonça ses doigts en fouillant intensément son sexe. Elle ne put retenir ses gémissements. Tout en la doigtant, il remarqua :

  • "Ces sécrétions sont très abondantes !"

L’obstétricien répondit :

  • "Peut-être une inflammation des glandes mammaires ? Fréquent en fin d’allaitement."

Retirant ses doigts, le dermatologue demanda :

  • "Madame, retirez votre corsage et soutien-gorge pour que nous vérifions ?"

  • "Oui, d’accord !" haleta-t-elle en se levant pour un bref répit.

Elle se dévêtit complètement devant la banquette. Nue, excitée au maximum, elle fit face aux deux hommes. Ils la suivirent près du bureau et lui demandèrent de répéter les positions sous tous les angles. Elle obéit volontiers. Puis ils lui ordonnèrent de se placer debout devant eux. Chacun prit un sein et le massa. Léa respirait fort.

  • "Ça vous fait mal ?" demanda le dermatologue.

  • "Non, pas du tout", souffla Léa.

  • "Détendez-vous, laissez venir !" dit l’obstétricien... tout en posant sa main libre sur son sexe. Il ordonna sèchement : "Les sécrétions augmentent. Poussons la stimulation."

Il poussa les dossiers sur le bureau et lui dit de s’allonger dessus, sur le dos. Se plaçant derrière elle, il empoigna ses deux seins et les massa vigoureusement. Le dermatologue, entre ses jambes, planta deux doigts dans son vagin et la branla sans retenue :

  • "Madame, j’intensifie la sollicitation. Lâchez-vous. Avez-vous mal ? Ça fait mal ? Madame ?"

Léa, ayant perdu tout contrôle, gémit profondément :

  • "Non, encore, encore, encorrrre ouiiiiiiiii !" Elle jouit intensément en hurlant.

Le dermatologue retira doucement ses doigts et caressa sa chatte. L’obstétricien massait toujours ses seins.

  • "Avez-vous eu mal durant l’examen ?"

  • "Non !"

  • "Même temporairement ?"

  • "Jamais !"

  • "Comme vous l’avez compris, nous sollicitions votre appareil génital pour vérifier son fonctionnement. Cela s’est-il bien passé ?"

  • "Oui, très bien."

  • "Sur une échelle de 0 à 10 – 0 : absence de sensation, 10 : orgasme violent – quelle note donneriez-vous ?"

  • "Euh... 9..."

  • "Lors des rapports avec votre mari, combien de fois atteignez-vous ce plaisir ?"

  • "Deux ou trois fois..."

  • "Vous êtes sensible. Nous devons donc répéter la stimulation deux ou trois fois pour vérifier l’impact sur la cicatrice. Avez-vous d’autres zones érogènes ? Les seins ?"

  • "Pas vraiment... Trop sensibles."

  • "Vraiment ? Les massages actuels vous font mal ?" Il continuait de lui malaxer les seins.

  • "Non, surtout les tétons qui sont hypersensibles."

  • "Je vois que vous pratiquez aussi la sodomie ?"

  • "Euh... oui... parfois..."

  • "Jouissez-vous par sodomie ?"

  • "Parfois, pas toujours."

  • "Vous masturbez-vous souvent ?"

  • "Non !"

  • "Je vous propose maintenant de montrer votre cicatrice à notre kinésithérapeute. Il palpera pour détecter d’éventuelles masses anormales. Il vous stimulera aussi pour notre deuxième test. D’accord ?"

  • "Oui, d’accord !"

A

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