Le récit de sa soirée dans son dernier mail

4 août 2025
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Il était prévu que Jean la retrouve hier.

J’ai immédiatement remarqué le changement dans sa tenue. Fini le pantalon et le pull. Vendredi soir, elle a opté pour une jupe noire ultra-courte qui lui arrivait bien au-dessus des genoux, avec des collants couleur chair et un top en maille qui laissait clairement entrevoir sa poitrine et son soutien-gorge. Avec ça, des escarpins noirs à talons hauts. Par contre, elle a refusé de me montrer la culotte choisie pour son rendez-vous.

Je lui ai simplement demandé de parler plus en détail avec Jean de la possibilité de m’intégrer, d’une manière ou d’une autre, à leurs aventures.

Vers 21h00, elle a quitté l’appartement après m’avoir offert un long baiser brûlant, vibrant d’amour, accompagné d’un large sourire.

Même programme que le week-end dernier pour moi : canapé, films, séries, documentaires… Sauf que cette fois, je savais qu’ils allaient faire l’amour. Je suis resté en érection près de quatre heures, jusqu’à ce que la douleur m’oblige à me soulager dans les toilettes en les imaginant.

Ma femme est rentrée à quatre heures du matin, les cheveux défaits et l’air ravi. Elle m’a donné un baiser tendre et gourmand… Comme la dernière fois, elle a promis de me raconter sa soirée en détail, mais a refusé de rien dire ce soir-là. Je lui ai juste demandé si elle s’était bien amusée. Avec un joli sourire, elle m’a répondu oui, que la soirée avait été très excitante, qu’elle était épuisée, et que je saurais pourquoi demain !

Ouille ! Toujours difficile à entendre.

Quand j’ai tenté d’être plus entreprenant sexuellement, elle m’a repoussé en rappelant sa fatigue extrême.

Même scénario : nuit agitée, odeurs de sexe à côté de moi (elle n’avait même pas pris de douche cette fois).

Dans le lit, une fois ma femme profondément endormie, j’ai réalisé que sa chatte contenait du sperme.

Le lendemain, 14h41, un mail… enfin ! Pffff…

« Mon chéri, Je suis dans notre lit, toute nue, en train de t’écrire. Excuse-moi pour le retard, mais je ne suis pas réveillée depuis longtemps. Ma nuit a été longue, donc longue à raconter. Je me suis endormie vite, trop fatiguée, pardonne-moi.

Quand j’ai revu Jean, on s’est embrassés comme des ados. Sa langue a remué dans ma bouche un bon quart d’heure. Ses mains baladeuses. Il avait l’air en forme ! J’ai eu des frissons à trembler. Tu ne peux imaginer le bien que ça m’a fait.

Il m’a dit qu’il m’emmenait dans un club libertin qu’il connaissait bien. Je t’ai toujours dit détester ce genre d’endroits, mais je n’ai pas osé le lui dire.

Il m’a demandé si j’avais bien « oublié » ma culotte, comme il me l’avait demandé hier matin (oui, mon chéri, Jean m’a appelée hier matin pour ça, j’ai oublié de t’en parler) ? Je n’avais donc rien en dessous, et j’avais rasé mon sexe au plus court (oui, j’ai aussi oublié de t’en parler, mais tu pourras voir et en profiter ce soir si j’ai la forme). J’ai accepté. Main dans la main, on est partis au club. La femme à l’entrée semblait bien connaître Jean (notre ami, ne m’en veux pas) et lui a fait la bise. Elle m’a jeté un regard approbateur avant de nous laisser entrer.

Grande salle style boîte, mais avec uniquement du jazz. Des couples dansaient en s’embrassant passionnément. Certaines femmes portaient des tenues ultra-provocantes, d’autres des tenues classiques. Je me situais, à vue de nez, entre les deux.

Jean m’a prise par la main, m’a emmenée au centre, m’a enlacée et on a dansé. Musique lente, sensuelle. Je me suis laissée aller au rythme.

D’abord sage, Jean a commencé à m’embrasser à pleine bouche et à me caresser langoureusement partout. Si ça me gênait un peu au début, j’ai vite vu que c’était pire pour d’autres couples. Le couple à côté, genre vingt ans max, se caressait sans pudeur. Le mec avait soulevé la jupe ultra-courte de sa partenaire et lui tripotait ouvertement les fesses devant tout le monde.

Enfin les fesses… les chairs autour de la ficelle de son string ! D’ailleurs, elle avait de superbes fesses, de vraies fesses de danseuse brésilienne de carnaval. Ne perdant pas de temps, Jean, qui avait aussi vu le couple, a commencé à me remonter très lentement ma jupe. D’abord au niveau des cuisses, puis plus haut. Bientôt, mes fesses étaient visibles de tous. Un groupe de quatre mecs d’une quarantaine d’années (je croyais que les mecs seuls n’étaient pas admis ?!?) m’a reluquée sans se cacher.

Au fond, ça ne me choquait plus. Ils voulaient mater mon cul ? Qu’ils le matent ! Si ça leur fait plaisir… Ils étaient plutôt beaux gosse. Et non seulement ça ne me gênait pas, mais je t’avoue, mon chéri, que ça m’excitait. Savoir que mon cul pouvait être vu, désiré, par plein de mecs me stimulait. Malheureusement pour toi mon amour, c’est Jean qui en a profité. Il avait vu les mecs me reluquer, et je crois qu’il était fier d’être avec moi.

Au bout d’un moment, Jean m’a dit qu’il me voulait, qu’il voulait me baiser. Ses mots.

Je lui ai répondu que ça semblait compliqué dans une pièce bondée. Il m’a confié que le club avait plein de petites salles tranquilles, avec ou sans miroir sans tain, pour s’ébattre plus « discrètement ». J’ai dit d’accord, ajoutant que les miroirs sans tain ne me dérangeaient pas du tout.

Il m’a emmenée à l’étage et m’a fait entrer dans une pièce entourée de miroirs que je savais maintenant être sans tain. Au milieu, une sorte de grand lit au ras du sol, comme un pouf géant.

On s’est enfermés (pas à clé), il m’a déshabillée au milieu de la pièce. Il a sifflé quand j’ai enlevé ma jupe, impressionné par la nouvelle forme de mon pubis, réduit à sa plus simple expression. Il a aussi apprécié l’absence de culotte. (Avais-je rêvé ? J’ai cru entendre des toc-toc aux vitres pendant que Jean me déshabillait.)

Il a ôté mon top puis mon soutien-gorge.

J’étais nue comme au premier jour. Mais plus sexy ! Jean a commencé ses caresses, si bonnes ; il m’a palpé les seins, les fesses, m’a caressé le sexe, frottant les poils restants contre sa main douce. Puis il m’a dit qu’il ne se déshabillerait pas, mais sortirait juste sa queue de son pantalon. Ou plutôt il m’a demandé de le faire… (Non, je ne rêvais pas, des gens étaient derrière les vitres, je viens d’entendre un sifflement de contentement !)

J’ai ouvert sa braguette et hop ! Sa queue est sortie comme un diable : pas de caleçon, le coquin ! Comme la semaine dernière, bien dure et tendue.

Je me suis mise à genoux et j’ai commencé à le sucer. Les bruits autour me déconcentraient un peu. Aaaah, ils devaient bien mater, les salauds, et la position que je leur offrais (un peu exprès) devait les satisfaire. Je ne sais pas pourquoi je n’étais pas gênée avec lui.

Effectivement, j’étais à genoux, le cul bien haut ; je me sentais l’héroïne d’un peep-show d’enfer… Ceux derrière moi devaient avoir une vue imprenable sur ma petite chatte ouverte, humide, et mon petit trou du cul propre. Pour ne pas les décevoir, j’ai décidé de me toucher le sexe par en dessous tout en suçant mon Jean chéri. Sans les mains, ma fellation changeait.

J’ai fait aller et venir ma petite langue rose tout le long de sa queue, juste la langue, sans jamais prendre tout en bouche. Je léchais sa hampe, son gland, des petits coups de langue, comme un chat qui boit son lait. Ce régime a visiblement plu à Jean, qui m’a demandé d’arrêter sinon, m’a-t-il dit, il jouirait immédiatement.

Je pense qu’il était aussi excité que d’autres puissent voir sa queue. Après tout, il y avait peut-être des femmes derrière les vitres !

Il m’a demandé de rester dans cette position, mais d’essayer de toucher le sol avec mes épaules. Mes années de danse m’ont permis cette prouesse de souplesse. J’étais donc là, les épaules au sol, le cul cambré et relevé à la vue de tous. Surtout à la vue de mon chéri du soir, Jean.

Il en a profité. Il s’est placé derrière moi, à genoux aussi, et s’est mis à me lécher la chatte et l’anus en alternance. Tout mon cul était trempé de sa salive. Finalement, il a introduit un doigt dans mon sexe, qui s’est ouvert instantanément. Il en est entré deux, puis trois… Mon sexe en redemandait, j’étais excitée comme jamais. Je me sentais chienne, salope, pute, offerte aux quatre vents.

Après quelques minutes, Jean s’est relevé, sans ôter son pantalon, et a placé sa queue à l’entrée de mon vagin. Il l’a frottée contre mon clito, puis, peu à peu, s’est introduit dans mon ventre chaud et accueillant. Je sentais les parois de mon sexe s’écarter au rythme de sa pénétration, c’était si bon. Et tous ces mecs qui me regardaient, qui voyaient cette chienne se faire saillir mmmmhhhh…

Jean a accéléré, agrémentant sa pénétration de petites claques sur mes fesses, de petites griffures dans mon dos. Il s’est même mis debout pour mieux me prendre, tenant fermement mes hanches, se plantant littéralement en moi, ses couilles cognant contre mon popotin.

Pendant qu’il me besognait, j’ai vu un miroir s’ouvrir (en fait, une porte miroir) et un mec entrer dans la pièce, une énorme queue à la main. Comme Jean, entièrement habillé, seule sa queue sortait.

J’ai eu un mouvement de recul, enfonçant encore plus Jean dans mon sexe. Il m’a chuchoté à l’oreille de ne pas m’inquiéter, que le mec voulait juste regarder, que ce club était très protégé, etc…

Curieusement, cette présence n’a fait qu’augmenter le rythme de mes mouvements contre Jean. Ça m’avait excitée.

Le mec était tout près maintenant, à portée de main, et Jean redoublait d’efforts. Han ! Han ! Il me baisait (il n’y a pas d’autre mot, mon chéri) comme un fou, j’avais l’impression que sa queue avait encore gonflé dans ma chatte.

Instinctivement, j’ai levé une main d’appui et commencé à toucher l’énorme queue près de moi. Je l’ai branlé un peu et il a éjaculé presque aussitôt, répandant son sperme sur mon visage, mes paupières, mes joues, mes lèvres, mes cheveux. Quelle giclée putain !!! Il n’avait pas joui depuis un an, ou quoi ? Il est reparti un peu honteux de sa rapidité et s’est replacé, je pense, derrière la vitre sans tain.

Jean m’a prévenue qu’il jouirait bientôt et m’a demandé s’il pouvait aussi me gicler sur le visage et les seins. Après ce que l’autre m’avait fait, mon chéri, j’aurais été mal venue de refuser, non ? J’ai accepté.

Il s’est placé devant moi, s’est branlé quelques minutes et a explosé sur ma figure. Contrairement à l’inconnu, j’ai léché le sperme de Jean près de ma bouche. Un goût particulier (je ne peux comparer au tien, je ne l’ai jamais bu !). Il a frotté sa queue sur mes cheveux, répandant encore un peu de sperme.

Il m’avait vraiment bien baisée, le Jean. Mon sexe palpitait encore de désir. Je n’avais pas joui, moi, il m’en fallait encore…

On est restés assis un moment au milieu de la pièce, on a fumé une cigarette à deux. Puis j’ai recommencé à secouer la nouille de mon petit Jean adoré. Quel tempérament ! Après quatre ou cinq aller-retours de ma main, sa queue était à nouveau au garde à vous. On est loin de la queue molle que tu as après l’amour ! Dix minutes après, hop, il peut remettre ça !

Il m’a couchée sur le dos pour mon confort (c’est mignon, non mon amour ?), m’a écarté très largement les cuisses, s’est mis au bon endroit et a doucement mais fermement poussé sa queue en moi. C’était bon, doux après la pénétration en levrette…

Je savais que des mecs nous regardaient encore, alors j’avoue avoir essayé de leur en donner pour leur argent. J’allais et venais mon bassin à la rencontre de celui de Jean, me soulevant parfois, me caressant les seins, embrassant Jean de la manière la plus obscène possible, lui léchant le visage. Je gémissais pour de vrai, tellement c’était bon d’être sa chienne. Je lui griffais le dos et les fesses. Puis, enfin, Jean, mon petit Jean, a joui dans ma chatte, répandant encore son sperme en moi. Sauf que là, ce n’était plus dans ma bouche ! Il s’est longuement écoulé en moi, débordant sur mes cuisses resserrées par le plaisir que je venais d’avoir. J’ai joui en même temps que lui, mon chéri (combien de fois cela nous est-il arrivé ? 0 fois ?). J’ai adoré cette sensation du sperme de mon amant s’écoulant lentement, inexorablement dans mon ventre…

J’étais sale, souillée. Du sperme de deux hommes différents sur mon corps. Du sperme au plus profond de mon intimité. C’est pourquoi je ne me suis pas lavée hier soir : pour que tu ressentes cette souillure, pour que l’odeur de sexe et de sperme atteigne tes narines de mari délicat. Cette fois, je peux dire qu’à ta demande, tu es bien cocu !

Jean, en me quittant devant chez nous après m’avoir encore caressée partout, a accepté de te tourner un petit film la prochaine fois. Parce que tu imagines bien qu’après ça, il y aura une prochaine fois, non ? Il semble vouloir recommencer. C’est évident. J’ai besoin de sexe tout le temps maintenant. Tu as réveillé ma libido, et elle ne peut plus se contenter de tes caresses et pénétration, tu le sais, comprends-moi !

Pas tout de suite, car Jean – mon petit Jean – part un mois pour son boulot. Snif.

Je t’embrasse mon amour, bonne branlette… euh… bonne journée ! Je saurai te remercier pour le plaisir que tu m’as fait découvrir en me forçant à prendre un amant, tu sais. En attendant, branle-toi bien mon petit cocu… J’aime être à sa disposition, qu’il fasse de moi ce qu’il veut. Qu’il profite de mon corps. Avant, je n’aurais jamais été capable d’écrire ça. »

Obéissant et fidèle, j’ai fait ce qu’elle souhaitait : je suis immédiatement allé me branler dans les toilettes, son récit à la main… enfin, dans une main.

J’en ai pris pour mon grade dans ce mail ! Mais crois pas que je lui en veuille. J’ai libéré une diablesse en elle, je serais mal placé pour me plaindre. Ce petit côté secret m’excite même. D’ailleurs, en écrivant ça, je bande comme un taureau, mon sexe comprimé dans mon boxer.

La soirée d’hier a été torride. Ma femme semblait un peu reposée et s’est comportée comme une tigresse avec moi. Elle m’a autorisé à éjaculer dans sa bouche et a bu mon sperme. J’en garde un souvenir émouvant (et érotique). Elle s’est donnée à moi dans toute sa splendeur de femme épanouie. Elle m’est montée dessus, je lui suis monté dessus. Et à chaque fois, je lui demandais :

  • « Et Jean, il t’a baisée comme ça ? Dans cette position ? »
  • « Il te l’a mise comme ça, ton Jean chéri ? Tu l’as bien sentie, hein ? »
  • « Ça t’a fait quoi de te faire baiser comme ça devant des mecs ? »
  • « Elle était vraiment énorme, la bite de ton inconnu au club ? T’aurais aimé qu’il te la mette bien profond, comme ça ? »

Elle me regardait droit dans les yeux, mélange de pervers et d’angélique dans son regard, un sourire ambigu aux lèvres. Sensation divine. Bref, tu comprends. Je l’aime comme ça.

Vivement son prochain mail.

M

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