Le Piège du Technicien

6/7/2025
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Voici le récit d’une aventure réelle que nous avons vécue...

Notre chauffe-eau solaire, récemment installé, nous causait des problèmes : il refroidissait l’eau au lieu de la chauffer !

Dans la notice figurait un numéro de téléphone que j’ai appelé. La personne qui m’a répondu m’a donné le portable d’un technico-commercial (nous l’appellerons François par discrétion).

Après avoir contacté François et lui avoir expliqué la raison de mon appel, nous avons convenu d’un rendez-vous à notre domicile.

Le jour venu, François est arrivé ponctuellement, et c’est moi (Joel) qui l’ai accueilli.

François est un bel homme d’une quarantaine d’années, mesurant environ 1,80 m, athlétique, avec des yeux verts, le crâne rasé et parfaitement habillé...

Pendant qu’il s’affairait sur notre installation solaire au sous-sol, j’ai rejoint Christine (mon épouse) et lui ai demandé de nous préparer un café.

Je suis descendu à la chaufferie et, quelques instants plus tard, Christine nous a annoncé que le café était prêt (elle n’avait pas encore vu François).

François et moi sommes arrivés dans le salon où Christine nous attendait.

François a salué Christine d’une poignée de main, et j’ai immédiatement vu dans le regard de Christine qu’elle le trouvait plus que sympathique : attirant et séduisant.

Nous avons bu notre café en discutant de banalités, mais assez rapidement car François avait d’autres rendez-vous après le nôtre.

Il est donc redescendu à la chaufferie pendant que je rangeais le plateau avec les tasses et les biscuits.

J’ai dit à ma femme : « Tu as semblé attirée par François en le découvrant, je me trompe ? »

« Non, me répond-elle, tu as bien vu ! Il est très charmant », et elle ajoute : « Hmmm... »

Mais elle me dit : « Dommage que je n’aie pas été habillée plus sexy ce matin, cela aurait peut-être pu lui plaire. »

Je lui réponds : « Il n’est pas trop tard pour te changer !!! » et elle se met à rire.

Je la quitte pour rejoindre François qui s’affairait dans la chaufferie. L’intervention durait plus longtemps que prévu, l’heure du déjeuner approchait.

Christine nous rejoint au sous-sol, voyant que nous y traînions, et demande : « Ce n’est pas encore fini ? »

François répond : « Non, pas encore. Je vais devoir revenir cet après-midi car, vu l’heure, je n’aurai pas le temps de terminer. Je vais aller déjeuner et reviendrai en tout début d’après-midi. »

Christine me regarde et, d’un œil complice, lui dit : « Voulez-vous déjeuner avec nous ? »

François la remercie en ajoutant : « Je ne voudrais pas vous déranger... »

Elle lui répond : « Mais pas du tout ! Je vais mettre la table, prévenez-moi quand vous monterez. »

Je lui annonce donc à voix haute que nous monterions quelques instants plus tard.

Notre chambre se situe sur le passage en montant l’escalier, et la double porte a été ouverte en grand (Christine l’a fait pour que François la voie en passant).

Ma femme est devant le miroir de l’armoire, nous tournant le dos, chaussée d’escarpins, les jambes gainées de bas couture, en string et soutien-gorge rouge. François feint de ne pas l’avoir vue par pudeur envers moi, et nous poursuivons vers la salle à manger.

Je lui propose un verre de Chardonnay qu’il accepte volontiers, et demande à haute voix à Christine si elle en veut aussi.

Elle apparaît aussitôt, vêtue d’une jupette noire assez courte et d’un haut en broderie et dentelle transparente, laissant deviner ses seins.

Nous prenons le verre de Chardonnay au salon ; Christine s’assoit à côté de François tandis que je m’installe face à eux. La jupette de Christine est remontée, on voit le haut de ses bas et la naissance de ses cuisses.

François dirige son regard vers moi mais ne peut s’empêcher de fixer les cuisses de Christine. Je sens qu’il est tenté mais se retient, ignorant que nous sommes libertins et que je suis candauliste.

Je décide de les laisser seuls quelques instants, prétextant aller chercher une bouteille de vin à la cave.

Une fois au sous-sol, je m’attarde volontairement pour laisser à Christine (qui a bien compris mon idée) le temps de séduire François.

Au bout de quelques minutes, alors que je remontais la bouteille à la main sans bruit, j’ai commencé à entendre des inspirations et des « mmmm » suivis de ces petits bruits humides que font les lèvres en se décollant après un baiser.

Il l’avait renversée sur le dos, la tenant face à lui en l’embrassant sur la bouche, une main explorant son entrejambe.

Christine l’avait rassuré pendant mon absence en lui disant : « Ne t’inquiète pas, mon mari aime me voir avec d’autres, il adore ça ! »

Je savais alors ce qui allait suivre. Sachant que Christine allait l’entraîner dans notre chambre, je suis redescendu à la cave pour leur laisser le temps de s’allonger sur notre lit.

Après un moment, des soupirs et des gémissements se firent entendre. Je suis monté sans bruit ; la double porte était presque fermée, mais je pouvais voir sans être vu.

Quel délicieux moment !!! Leurs corps étaient enlacés, leurs langues entrelacées, la salive coulait sur leurs joues. Lorsque leur excitation fut à son comble, Christine s’empala sur lui, donnant des coups de reins frénétiques jusqu’à exploser de plaisir dans un orgasme puissant. Lui aussi émit un râle bestial. Peu à peu, le calme revint ; ils se léchaient la langue, il la serrait fort contre lui, elle restait cuisses ouvertes à plat ventre, la verge de François posée sur son bas-ventre.

J’ai ouvert la bouteille de vin et leur ai crié : « À table !!!!! »

François est devenu un amant régulier de ma femme. Il vient tous les jeudis et passe la nuit avec Christine, pour notre grand plaisir à tous les trois.

Depuis, le ballon « chauffe bien »... et notre plaisir commun est total.

Si des cocufieurs nous lisent et souhaitent vivre une expérience similaire avec nous, nous en serons ravis et comblés.

Christine et Joel

A

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