Suite de l'histoire du boucher-charcutier

7 juillet 2025
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Franchement, il venait de me procurer un plaisir immense et, même si le saucisson y était pour beaucoup, je pense que le fait d’être avec un homme âgé (hors famille) profitant de mon corps augmentait mon excitation. Sans parler de cette appréhension simulée d’être surprise, une situation que j’apprécie de plus en plus.

Il s’est alors dirigé vers l’interrupteur et a rallumé la lumière, me permettant de voir qu’il n’avait ni pantalon ni caleçon. Sa queue dressée tressautait légèrement au rythme de ses pas lorsqu’il revint vers moi.

Lui : — Tu as apprécié le saucisson entre tes cuisses ?

Moi : — Oui, monsieur.

Lui : — Regarde, j’ai aussi pris quelques cochonnailles qui devraient te plaire aussi, avant de te baiser.

J’ai jeté un œil sur l’établi et y ai aperçu quelques fines saucisses. Une petite déception m’a saisie ; après ce qu’il venait de m’introduire, je doutais que ces petits objets me fassent du bien.

Lui : — Appuie-toi à nouveau sur l’établi et écarte bien les jambes, je veux encore jouer.

Avant de reprendre cette position, j’ai retiré mon tablier et le reste de mes vêtements. Je ne tenais pas à rentrer chez moi couverte de déchets.

Il s’est collé contre moi, coinçant son sexe entre mes fesses tout en malaxant mes seins pendant plusieurs minutes. Puis il s’est arrêté et, son sexe toujours entre mes fesses, a pris une saucisse qu’il a plongée dans un bac de graisse (froide et dure, rassurez-vous) pour l’enduire complètement.

Pas le temps de réfléchir à ce graissage : il s’est immédiatement reculé et a placé le bout de la saucisse contre mon anus.

Lui : — Tu t’es déjà fait enculer ?

Moi : — Oui, un peu.

J’avais à peine répondu que j’ai senti cette chose entrer en moi avec douceur. D’une main, il faisait aller et venir la saucisse, de l’autre, il titillait et pinçait mon clitoris.

J’avais déjà été sodomisée, mais cette fois, j’y ai vraiment pris un plaisir intense ! Pourquoi ???

À nouveau, j’ai eu des orgasmes incontrôlables et je les ai exprimés sans retenue.

Quand il s’est arrêté, j’ai été déçue et le lui ai dit. Il m’a répondu qu’il voulait maintenant prendre son pied et m’a demandé de m’asseoir au bord de l’établi. Il a passé ses bras sous mes genoux, soulevé légèrement mes jambes, avant d’enfoncer son sexe en moi jusqu’à la garde.

Pour être précise, malheureusement, à cette époque, je ne me promenais pas avec des préservatifs et la relation fut « non-couverte ». À ne pas faire !

Il ne tint pas très longtemps et, après seulement quelques minutes, déversa son sperme au plus profond de moi.

Il a haleté un instant puis s’est retiré.

Il m’a aidée à descendre de l’établi, puis a exigé (c’était à la limite de l’ordre) que je lui nettoie le sexe avec ma bouche, ce que j’ai fait. Le goût était étrange, un mélange de sperme et de saucisson.

Ensuite, il m’a demandé de finir ma journée nue.

Lorsque nous eûmes terminé le travail, nous sommes restés un moment à bavarder, lui ne cessant de me caresser pendant ce temps.

Lui : — C’est la première fois que tu as un partenaire qui utilise des objets ?

Moi : — Ce genre de choses, oui.

Lui : — Et mon âge ne t’a pas gênée ?

Moi : — Non, pas du tout.

Lui : — Tu as déjà fait l’amour avec des hommes comme moi ?

Moi : — Oui.

Lui : — Je les connais ? Ce sont des clients de la boutique ?

Moi : — Je ne sais pas si vous les connaissez tous, mais ce ne sont pas des clients.

Lui : — Tous !! Tu baises avec beaucoup d’hommes de mon âge ?

Moi : — Non, pas beaucoup, mais celui qui m’a tout appris est plus vieux que vous.

Lui : — Il a quel âge ? Et tu es sûre que je ne le connais pas ? C’est quelqu’un du coin ?

Je n’allais quand même pas lui dire qu’il s’agissait d’un membre de ma famille.

Moi : — Il a 71 ans maintenant, mais je n’en dirai pas plus, désolée.

Contrairement à maintenant, à cette époque je revoyais parfois un amant plusieurs fois. Avec cet homme, cela s’est reproduit deux fois, chez lui et sans « jouets ».

Il a absolument tenu à m’offrir un cadeau puisque je refusais l’argent. J’ai accepté de la lingerie qu’il est venu acheter avec moi, profitant de l’occasion pour me caresser dans la cabine d’essayage.

F

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